Un porte-parole du Meta Group a annoncé, mercredi 29 janvier, que la société avait accepté de payer 25 millions de dollars (environ 23 millions d’euros) de compensation à Donald Trump afin de mettre fin à ses poursuites engagées après la suspension, en 2021 , ses comptes Facebook et Instagram. LE Wall Street Journal a été le premier à signaler le présent accord, dont un porte-parole de Meta a ensuite confirmé le contenu de l’agence France-Presse.
Le président américain avait déposé une plainte contre Meta et son fondateur, Mark Zuckerberg, envisageant d’être victime de censure après avoir été exclu de Facebook et Instagram le 7 janvier 2021, lors de son premier mandat, d’avoir encouragé ses partisans lors de l’agression de la Capitole à Washington, la veille. La décision sans précédent de Meta a été imitée à l’époque par la plupart des réseaux sociaux grand public, y compris Twitter. Meta avait annoncé deux ans plus tard, mettant fin à la suspension des comptes de Donald Trump.
Depuis son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, le républicain a beaucoup parié sur les magnats de la technologie, oubliant son ressentiment envers Mark Zuckerberg, qui était présent pour la cérémonie présidentielle du président. Le propriétaire du groupe californien a multiplié les annonces en janvier pour aligner son entreprise avec la nouvelle administration Trump. Il a nommé plusieurs présidents du président à des postes clés et mis fin aux programmes (antidéinformation, somptueux, promouvant du contenu) largement critiqué par les conservateurs.
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