Mercato : Olivier Dall’Oglio s’attend à une attaque lourde

Le mercato estival entre dans son money time. Les dirigeants de l’ASSE s’activent en coulisses pour se renforcer tandis que sur le terrain les joueurs préparent le déplacement à Brest. Au milieu, Olivier Dall’Oglio navigue entre coaching et discussions avec les dirigeants. Lors d’une conférence de presseL’entraîneur des Verts a exprimé ses souhaits, sans hésitation, pour la fin du mercato.

ODO confirme que les joueurs qui partent ne seront pas dans le groupe pour Brest

Olivier Dall’Oglio sur les départs des joueurs : « Et oui, le mercato n’est pas terminé, donc tout peut arriver. Oui, il y a des gens qui s’inquiètent de ne pas être dans le groupe. Mais oui, il y a une fin de mercato. Comme on l’a dit depuis le début, il y a beaucoup de choses qui vont se jouer dans les deux derniers jours. Cela peut se jouer ou pas, d’ailleurs. En septembre, on aura une vision différente. »

Sur le feu d’artifice de fin de mercato : « Pour l’instant, le feu d’artifice n’a pas vraiment commencé. Les prochaines heures nous le diront. Je ne peux pas vous en dire plus. Je ne sais pas. On veut avoir une stabilité, notamment au niveau des effectifs. Mais il faut passer par là. Les nuits sont courtes pour certains, je le sais. »

L’entraîneur de l’ASSE veut deux renforts supplémentaires avant la fermeture du mercato

« Non, mais en fait, j’avais envie de me renforcer un peu partout, donc je reste sur mon idée. Il faut se renforcer un peu partout. L’équipe manque d’expérience pour ce niveau. On y travaille, mais ça ne vient pas tout seul. En effet, il faut des leaders à un moment donné pour aider les plus jeunes, pour que le groupe puisse avancer. Il faut avoir ça. »

« Là, on s’est renforcé derrière. Pierre nous amène de l’expérience sur le côté gauche. Ce n’est pas mal. Au milieu, il nous faut certainement un joueur de plus et au moins un attaquant de plus pour renforcer l’attaque. On l’a vu sur les derniers matches, c’est ce qui nous a manqué, c’est le côté offensif. »

« Nous parvenons à créer des situations et ensuite si nous regardons simplement les statistiques, nous dirons qu’ils ont tiré au but. Nous avons tiré au but, nous avons été dangereux deux fois sur les 8 ou 9 tirs cadrés, je ne me souviens plus exactement. C’est là qu’il nous faut plus de force, nous sommes à un niveau supérieur, nous avons moins d’espace, nous avons moins de temps, nous avons besoin de plus de force, nous avons encore plus de détermination et certainement plus de qualité pour marquer des buts. »