Et deux pour le PSG ! Ce lundi, le club parisien a officialisé l’arrivée du jeune milieu de terrain Joao Neves. Un transfert estimé à 70 M€. Mais avant de dire au revoir à Benfica, le joueur a accordé une longue interview pour revenir sur cette opération, mais aussi sur un événement qui a bouleversé sa vie.
L’opération était attendue depuis plusieurs semaines. Et finalement, la PSG a mis fin au suspense lundi. Le club parisien a officialisé l’arrivée de Joao Neves. Le jeune milieu de terrain, formé à Benfica, a signé un contrat de cinq ans avec le PSG. Mais avant de partir Lisbonne, João Neves a fourni quelques détails sur son départ en France.
Le PSG est assis sur 25 M€ ! https://t.co/hWrKXgBNxE pic.twitter.com/AjYX8bIXlx
— le10sport (@le10sport) 7 août 2024
Neves parle de son transfert
» Ni moi ni ma famille n’avons jamais appelé quelqu’un pour me forcer à partir. Même Benfica ne voulait pas que je parte. C’est très clair et très présent dans ma tête. J’ai parlé au président plusieurs fois et nous avons toujours eu la même opinion. Ce n’était pas facile pour le président. Lors des réunions que j’ai eues avec lui, le président était très ému parce que c’était à propos de moi. Quand nous avons convenu qu’il était temps pour moi de partir, le président a fondu en larmes, et moi aussi, nous avons tous les deux un peu pleuré. Mais comme je l’ai dit, c’était bien pour le club. Il n’y a rien au-dessus du club, et je ne suis pas au-dessus du club. » a-t-il confié.
Le joueur a vécu une tragédie cette année
João Neves Il a également évoqué le décès de sa mère en février dernier, des suites d’un cancer. Une tragédie pour le joueur de 19 ans. J’ai perdu ma mère, c’était évidemment le moment le plus triste de ma vie, et cela restera certainement ainsi, a-t-il confié. Le football a toujours été ce qui m’a libéré de mes problèmes et des pensées les plus lourdes que j’avais. Aller à l’entraînement et être avec mes amis, sentir l’herbe, le ballon, n’efface pas les problèmes que j’avais, loin de là, mais en résout d’autres. Rester à la maison, à réfléchir, aurait été bien pire. » il a dit.