« Même le soir où il est mort » : ce que Laeticia Hallyday a réussi à faire tout au long de la maladie de Johnny
Cela fait maintenant six ans que Johnny Hallyday est décédée d’un cancer du poumon, laissant un vide immense dans le coeur de Laeticia, mais aussi dans celui de Sébastien Farran, son dernier manager. Dans une interview avec le magazine IndiquerLe jeune homme de 53 ans est revenu sur la maladie et la mort difficile de Johnny Hallyday.
« Johnny a enduré les traitements avec courage, sans me plaindre, même quand il souffrait. Il sort de grandes phrases, comme s’il était le parrain : « Faites attention à mes filles », « J’ai peur pour Laeticia », « Ne vous approchez pas à moins de 50 mètres de son père… » », rappelle-t-il.
« Tellement difficile… » : son manager revient sur la dernière tournée de Johnny Hallyday
Sébastien Farran rappelle que Johnny Hallyday ne souhaitait pas annuler sa dernière tournée des Vieilles Canailles en province. « Si je ne fais pas cette tournée, Je vais mourir ! », il s’est excalmé. « En coulisses, Johnny ne s’attendait pas à ce que ce soit si difficile… Mais il avait l’attitude d’un combattant. Il a bien géré sa maladie. »il ajoute.
« Si Laeticia avait estimé que la tournée représentait un danger pour sa santé, elle l’aurait convaincu d’arrêter. Il voulait vivre et elle savait lui faire entendre raison », poursuit l’ancien manager de Johnny Hallyday. Ce n’est pas la seule chose que Laeticia a su faire. Même avant sa maladie, elle « J’ai toujours su éloigner les mauvaises personnes ». « Mais plus il était malade, moins les trompeurs osaient se montrer… », dit Sébastien Farran.
Ce que Laeticia Hallyday a réussi à faire jusqu’à la mort de son mari
Tout au long de sa maladie, la mère de Jade et Joy a également réussi à « préserver une ambiance hyper familialemême la nuit où il est mort ». « Elle avait invité Jean-François Piège et Hélène Darrozeet ses amis pour le dîner… C’était très convivial »précise le producteur.
Le jour de la mort de Johnny Hallyday, Sébastian Farran s’en souvient encore. « Je suis parti de Marnes-la-Coquette à 20 heures, je regardais un film chez moi quand Jean-François Piège m’a appelé vers 22 heures pour me dire que c’était fini, que Laeticia a demandé à me voir. Je me suis levé comme un soldat et j’ai travaillé sept jours et sept nuits d’affilée. J’étais à l’Elysée tous les matins à 6h30 pour organiser les funérailles nationales. »