Divertissement

Mélanie Thierry révèle le sexe de son troisième enfant

L’actrice, qui est récemment devenue mère d’un troisième enfant, a révélé dans les colonnes du magazine Ellece mercredi 14 août, quel était le sexe de son dernier né. Et se confie sur la maternité après 40 ans.

« On devient une vraie famille ! », s’enthousiasme-t-elle. Tout juste devenue maman d’un troisième enfant, Mélanie Thierry s’est confiée dans les colonnes du magazine Elle Ce mercredi 14 août, elle a évoqué cette naissance. Elle a notamment dévoilé le sexe de son troisième enfant, âgé de 5 mois. L’actrice, déjà maman de Roman, né en 2008, et d’Aliocha, né en 2013, a ainsi accueilli un autre petit garçon. Et s’est déclarée « très heureuse d’avoir eu un troisième fils ». « Trois garçons, je trouve ça merveilleux ! », a-t-elle ajouté.

« Un bonheur incroyable »

Elle confiera plus tard qu’elle et son compagnon Raphaël partagent « des choses différentes » avec chacun de leurs enfants. « L’adolescent commence à devenir un vrai jeune homme, celui du milieu, à 10 ans, est encore un petit garçon, et le bébé de 5 mois nous apporte un bonheur incroyable », dit-elle. « C’est une petite perfection qui a besoin des bras de ses parents et du sourire de ses frères. »

Elle a également fait part de son émotion à l’idée de voir « de nouvelles places émerger » au sein de la fratrie. « Les premiers mois avec un bébé, on est secoué par nos émotions, avec Raphaël on n’a jamais autant ri, jamais autant pleuré, la moindre chose nous bouleverse, a-t-elle souligné. Le regard de mon fils aîné sur le petit me fait monter les larmes aux yeux. C’est formidable de revivre les émotions de l’arrivée d’un nouvel enfant. »

L’actrice s’est également confiée sur son quotidien avec ce nouveau-né. « Quand j’ai eu mon premier fils, j’avais peur de tout, et parfois j’avais même envie de fuir parce que c’était trop violent, je n’avais pas confiance en moi, a-t-elle expliqué. On part d’une grande page blanche en amour avec un homme, et l’arrivée d’un enfant provoque un chahut qui semblait difficile à gérer à 26 ans. » Avant de poursuivre : « À 43 ans, je suis plus douce, je prends mon temps. Ça n’enlève pas la fatigue ni le fait de se trouver moche et de se dire qu’on ne retrouvera jamais son corps d’avant ! »

Refuge

Quelques jours plus tôt, Raphaël parlait de son propre quotidien dans les colonnes de La Tribune du dimanche 11 août. L’auteur deAvalanche Il évoque ensuite l’importance de son refuge, l’île de Bréhat, et la manière dont il organise son temps pour écrire son prochain livre, en parallèle de sa vie de famille. « J’ai trois enfants et je travaille à la maison, dit-il. Je jongle avec les emplois du temps de chacun. À Paris, les journées sont tellement fragmentées que je n’arrive pas à trouver assez de temps pour être disponible. Ici, les étés sont longs. Il y a une douce lenteur propice à l’écriture. »

A Paris, les journées sont tellement fragmentées que je ne trouve pas suffisamment de disponibilité mentale.

Raphaël

Fin juin, l’artiste parlait déjà de sa paternité dans Version féminine « C’est merveilleux », a-t-il souligné. « Mes deux premiers fils, âgés de 15 et 10 ans, sont comme des exemples pour moi, je les admire, j’aime leur esprit, leur façon de percevoir le monde, leur tendresse, leur humour ». Avant de conclure, à propos de son cadet : « C’est aussi une joie d’avoir un bébé, on oublie à quel point il est miniature, précieux, fragile ».

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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