Divertissement

Mélanie Thierry est maman : elle dévoile enfin le sexe de son troisième enfant avec le chanteur Raphaël

Depuis 2002,
Mélanie Thierry et Raphaël sont un couple heureux et amoureux
Ensemble, ils ont donné naissance à trois enfants : Roman, né en 2008, Aliocha, né en 2013, et un dernier enfant qui est né en 2024. Discret sur leur vie privée, le couple avait pris soin de ne pas dévoiler le sexe de leur troisième enfant. Cependant, l’acteur a décidé de briser le secret dans les colonnes de ElleMercredi 14 août 2024.

Après avoir eu deux garçons, elle a donné naissance à un troisième petit bonhomme.Je suis à l’aise avec les garçons,
Je suis très heureuse d’avoir eu un troisième fils. Trois garçons, je trouve ça merveilleux ! Ils ont tellement de différences d’âge que leur père et moi partageons des choses différentes avec eux.
 » déclara-t-elle très joyeusement.

Mélanie Thierry a ressenti beaucoup de peur et d’angoisse à la naissance de son fils aîné.

Lors de la même interview, la compagne du chanteur Raphaël s’est confiée sur son rôle de mère.Quand j’ai eu mon premier fils, j’avais peur de tout et parfois j’avais même envie de fuir parce que c’était trop violent.Je n’avais pas confiance en moi » a-t-elle avoué avant d’ajouter : « On part d’une grande page blanche amoureuse d’un homme et l’arrivée d’un enfant provoque un brouhaha qui semblait difficile à gérer à 26 ans.« .

Âgé de 43 ans, Mélanie Thierry semble avoir beaucoup mieux géré la naissance de son troisième fils.. « A 43 ans, je suis plus douce, je prends mon temps. Cela n’enlève rien à la fatigue ni au fait de se trouver moche et de se dire qu’on ne retrouvera jamais son ancien corps.« , a-t-elle néanmoins fait savoir.

Raphaël doit jongler entre son travail et ses trois enfants

De son côté, quelques jours plus tôt, dans les colonnes de
La Tribune du dimanchele 11 août 2024, Raphaël évoquait son quotidien de père.J’ai trois enfants et je travaille à domicile. Je jongle avec les horaires de chacunA Paris, les journées sont tellement fragmentées que je ne trouve pas suffisamment de disponibilité mentale. » a-t-il expliqué.

En vacances en Bretagne, et plus précisément sur l’île de Bréhat, il se dit heureux de pouvoir profiter d’une vie plus lente.Il y a une lenteur douce qui est propice à l’écriture. Je me lève très tôt, je fais chauffer la cafetière italienne, j’ouvre la porte et j’attends que le soleil se lève sur la mer. J’écris beaucoup à Bréhat parce que c’est là que j’ai le temps, plusieurs semaines devant moi pour laisser les choses se dérouler, se mettre en place. » . « 

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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