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Ils peuvent mettre fin à leurs jours…
« On disait toujours qu’autrefois, si vos enfants vivaient sous votre toit, vous saviez ce qu’ils faisaient. Au moins, ils étaient en sécurité, n’est-ce pas ?« , dit le prince Harry, l’air sérieux.Aujourd’hui, ils peuvent être dans la pièce à côté, sur une tablette ou un téléphone, et ils peuvent se perdre dans ces trous de lapin. Et avant même de s’en rendre compte, dans les 24 heures, ils peuvent mettre fin à leurs jours.« .
À leur échelle et à travers le programme The Parents Network, Meghan Markle et le prince Harry souhaitent sensibiliser et aider d’innombrables familles. Notamment celles qui ont vécu un deuil. Attaquée de toutes parts sur la Toile et dans la presse, la fille de Doria Ragland a eu des pensées suicidaires par le passé.
Le terrible cri du cœur de Meghan Markle
Une période sombre qu’elle avait évoquée en toute transparence devant Oprah Winfrey.Lorsque vous avez vécu une douleur ou un traumatisme, quel qu’il soit, je pense qu’une partie de notre cheminement vers la guérison, et certainement une partie du mien, consiste à pouvoir en être vraiment ouvert.« , a déclaré la grande amie de Serena Williams lors de cette nouvelle interview.
A l’instar de son mari et en s’appuyant sur leurs expériences, Meghan Markle espère faire évoluer les mentalités sur la question afin d’aider ceux qui souffrent dans des situations similaires ou différentes. Face aux défis du numérique, les Sussex ont notamment organisé en mai dernier un événement à New York pour sensibiliser les parents à la santé mentale.
D’autres conférences à venir
Unis et déterminés à faire bouger les choses, le prince Harry et son épouse comptent bien organiser d’autres conférences à l’avenir pour atteindre leur objectif.Si exprimer ce que j’ai surmonté peut sauver quelqu’un ou encourager quelqu’un dans sa vie à se soucier réellement de lui, et à ne pas supposer que si les apparences sont bonnes, alors tout va bien, alors cela en vaut la peine (…)« , a ajouté Meghan Markle. « Je pense qu’il faut commencer quelque part. Je pense que la chose la plus simple à faire pour les gens qui regardent ça est de se dire : « Et si c’était mon fils ou ma fille ? »« .
Difficile pour la belle-fille du roi Charles III de rester impassible face à la souffrance de certains parents qui ont perdu un enfant à cause du cyberharcèlement.Mon fils ou ma fille qui rentre à la maison, heureux, que j’aime… Et un jour, sous mon toit, toute notre vie bascule à cause de quelque chose qui était complètement hors de notre contrôle ? » dit-elle le cœur lourd.Et si vous regardez cela à travers le prisme d’un parent, il n’y a pas d’autre façon de voir les choses que d’essayer de trouver une solution. »