Mbappé a encore aggravé son cas !
La prestation délivrée par Kylian Mbappé face à Liverpool a visiblement épuisé la patience des supporters madrilènes, qui pourraient avoir droit à un accueil virulent lors du prochain match au Bernabeu.
Et si le pire était à venir pour Kylian Mbappé ? Après une légère remontée face à Leganes le week-end dernier, les Bondynois semblaient pourtant toucher le fond mercredi sur la pelouse d’Anfield. Alors qu’il était particulièrement attendu en l’absence de Vinicius, le champion du monde français s’est montré transparent, livrant l’un de ses pires matchs de sa carrière. Outre le penalty manqué, l’ancien Parisien semblait perdu et incapable de peser sur les débats.
Sans surprise, Kylian Mbappé portait le masque au coup de sifflet final. Il a également soigneusement évité les microphones. Mais l’attaquant français a également fait l’impasse sur le public madrilène venu à Anfield pour ce remake des finales de Ligue des Champions 2018 et 2022. Une attitude qui a encore détérioré sa popularité auprès des supporters madrilènes, dont la patience envers le Français semble épuisée.
La colère des supporters contre Kylian Mbappé
Et certains ont exprimé leur mécontentement en quittant Anfield. Un supporter a brûlé le maillot du Real Madrid imprimé au nom de Mbappé et au numéro 9. « Mes espoirs et mon soutien à Kylian Mbappé sont terminés. Je suppose que quiconque le soutient a un QI égal à celui d’une mouche. » a justifié ce fan en colère dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.
Selon les spécialistes madrilènes, Kylian Mbappé peut désormais se préparer à entendre son nom hué dimanche, pour la réception de Getafe. « Nous devons attendre le prochain match à Santiago Bernabeu pour voir où nous en sommes en termes de patience des supporters. Il est évident que les fans attendent beaucoup plus. Pour le moment, ils ont été patients mais il ne serait pas très étonnant qu’il soit sifflé. Ils l’ont fait avec Benzema et Zidane, donc peut-être que ce sera difficile pour lui aussi. »a confié en ce sens Pablo Polo, reporter chez Marca, au Parisien.