Maroc-Chine : un nouveau partenariat sur la gestion des ressources en eau
LE domaines de coopération Les sujets couverts par ce programme comprennent notamment : infrastructures hydrauliquesy compris la construction, l’exploitation, la gestion et la maintenance de projets de distribution ressources en eau.
Elles concernent également la gestion de phénomènes extrêmes comme le inondations et le sécheresse, approvisionnement en eau potable dans les zones rurales, ainsi que la conservation et protection des ressources en eauy compris économie d’eau destiné à irrigation.
Aux termes de ce protocole, les deux parties conviennent de tenir trois Réunions du Comité mixte Chine-Maroc sur le ressources en eaurespectivement en 2025, 2026 et 2027, en vue de faire le point sur les expériences des deux pays en matière de planification, de recherche, d’évaluation et surveillance des ressources en eau.
Il s’agit également d’organiser une réunion technique et des recherches sur place pour présenter la construction et l’entretien du infrastructures de transport fluvial au Maroc, en plus d’un séminaire de synthèse des échanges de expériences entre les deux parties. A cette occasion, M. Baraka a indiqué, dans une déclaration à la presse, que cette partenariat est conforme à la relations solides unissant les deux pays, qui manifestent une forte volonté de renforcer leurs coopération bilatérale.
Il a souligné l’importance de cette mémorandum qui, relatif à un programme spécifique pour les trois prochaines années, concerne la problème de mobilisation de l’eau de manière conventionnelle et non conventionnelle, Contrôle de la sécheresse et des inondationsen plus de la gestion intégrée de l’eau et le préservation des eaux souterrainesDe son côté, la responsable chinoise a mis en avant les relations de longue date entre le Maroc et la Chine, notant que la signature de cet mémorandum renforcera la coopération technique et des échanges dans le domaine de ressources en eauOnt participé à cette réunion : Ambassadeur de Chine à Rabat, Li Chnglin et le directeur général de Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONÉ), Tarik Hamane.
lematin