Pourtant, elle avait décidé. Il y a huit jours, la secrétaire nationale des Écologistes, Marine Tondelier, avouait sur RTL que la perspective d’un départ « un débat que nous avons tous les jours à la direction de (son parti) » mais il était catégorique : « Nous devons tous quitter Twitter. » Le représentant de l’opposition à Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) a alors exhorté tous les députés du Nouveau Front populaire à emboîter le pas, estimant qu’il est important de « protéger notre démocratie et l’information sur notre territoire ».
En une semaine, elle a changé d’avis… Malgré les appels à déserter des millions d’utilisateurs actifs. Dénonçant la vague de haine subie depuis qu’elle s’est prononcée en faveur de l’interdiction de la plateforme, elle annonce en prendre note « du fait qu’une très large majorité de parlementaires ont décidé de rester sur Twitter /X».
Tout en regrettant ce qu’est devenu le réseau social,