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Divertissement

« notre enfant Valentin connaît sa mère porteuse »

Paris Match a rencontré l’animateur de la future nouvelle saison de « Secret Story » sur TF1. Christophe Beaugrand se confie notamment sur sa vie de famille.

Un bonheur qu’il a longtemps cru impossible. Derrière le sourire et la malice qui sont sa marque de fabrique, le touche-à-tout du petit écran a caché, pendant deux décennies, un secret désespoir : « Dès l’âge de 19 ans, j’ai voulu être père. Une obsession d’autant plus forte qu’étant homosexuel, je savais que ce serait compliqué. Après mûre réflexion, Ghislain, son mari depuis 2018, et lui ont eu recours à la maternité de substitution (GPA) réalisée aux Etats-Unis. Un voyage semé d’embûches et de joies dont ils ont écrit un livre et qui leur a permis de réaliser leur rêve.

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Aujourd’hui, leur fils, Valentin, a 4 ans. Et rend ses pères fiers. « C’est la star à la maison. Sur les conseils de son professeur d’école, nous l’avons inscrit à des cours de cirque, et désormais il fait aussi du théâtre tous les mercredis », confie Christophe Beaugrand à notre journaliste Pierrick Geais. Le tout-petit, qui n’est jamais laissé à l’écart des pitreries, a quelque chose à espérer. Depuis près de vingt ans, Christophe Beaugrand distille sur le petit écran sa bonne humeur inaltérable, avec la particularité de jongler entre l’information la plus sérieuse et le divertissement pur.

Un mariage et un enfant

L’animateur revient sur sa belle histoire d’amour. Après une longue relation et une rupture douloureuse, Christophe Beaugrand ne croyait plus à l’amour. Ghislain lui a redonné espoir. Le seul frein à leur belle histoire ? Leur différence d’âge. « Il avait 21 ans, moi 33 ans, donc je me posais des questions », raconte Christophe. Puis je me suis rendu compte qu’il était plus âgé que moi dans ses références… » Rapidement, ils rêvent d’avoir un enfant, mais souhaitent d’abord se marier. « Notre côté traditionnel », plaisantent-ils. Les hommes gays nous reprochaient encore d’être trop hétéronormatifs ! »

Après la naissance de Valentin, en 2019, ils écrivent un livre – « Fils à papa(s) » (éd. Plon, 2021) – qui retrace l’aventure tumultueuse de leur GPA (Gestation pour autrui), les premiers contacts avec une agence au Nevada. jusqu’à ce qu’ils rencontrent Whitney, celle qui portait leur bébé. Loin d’être un simple moyen, cette mère porteuse a sa place sur la photo de famille. « Nous voulions garder un lien. L’année dernière, elle est venue passer une semaine chez nous avec son mari. Elle est même allée à la foire de l’école. Valentin la connaît et connaît son histoire. » Cascadeur dans l’âme, le petit garçon voudra peut-être un jour travailler au cinéma. Ou pourquoi pas la télé-réalité ? « Ce n’est pas grave, nous le soutiendrons. Nous avons le temps de le voir venir. Pour l’instant, son seul rêve est de devenir Spider-Man. »

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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