Les chercheurs se sont intéressés aux liens entre notre alimentation et le risque de développer une polyarthrite rhumatoïde. Ils sont partis de 30 études réalisées précédemment, incluant 10 000 personnes souffrant de cette maladie, sur une longue période : entre 2000 et 2024. Leurs résultats ont été publiés dans la revue Nutrients. Comme le rappelle l’Inserm, la polyarthrite rhumatoïde est « une maladie auto-immune qui touche entre 0,5 et 1 % de la population adulte, avec une incidence constante partout dans le monde. Si la maladie peut survenir à tout âge, elle apparaît généralement entre 30 et 50 ans, avec un pic vers 45 ans. Elle est deux à trois fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes, une différence probablement due en partie à un effet des œstrogènes sur la fonction immunitaire. »
L’alcool peut avoir un rôle protecteur (dans une certaine mesure)
Trente-deux groupes alimentaires ont été étudiés par cette vaste enquête. Sans surprise, des chercheurs ont établi que certains aliments (dont on sait déjà qu’ils sont bénéfiques pour la santé) contribuent à limiter le risque de développer une polyarthrite rhumatoïde. Il s’agit notamment des poissons gras et des aliments riches en vitamine D. Mais aussi des céréales et des fruits, notamment au petit-déjeuner. A l’inverse, un élément de notre alimentation tend à augmenter le risque : le thé. Une tasse par jour augmenterait (…)
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