MAISON DES ÉTOILES Antoine et sa compagne : leur maison isolée aux volets bleu lagon obtenue pour une somme dérisoire
A bientôt 38 ans, Sandra Ratesson a croisé de nombreuses émissions de télévision, animateurs et candidats de télé-réalité. Membre de la génération Club Dorothée, elle a vu apparaître mais aussi disparaître de nombreux programmes. Elle a vu en direct la scène du rapprochement physique entre Loana et Jean-Edouard dans la piscine du Loft Story grâce à un abonnement ADSL périodique.
Avec sa compagne Francette, le chanteur Antoine a trouvé son paradis terrestre depuis longtemps. Lorsqu’il n’est pas sur son bateau, il passe du temps de qualité dans sa ferme en pleine nature. Une propriété qu’il adore et qu’il décrit pour « Le Figaro ».
MAISON DES ÉTOILES Antoine et sa compagne : leur maison isolée aux volets bleu lagon obtenue pour une somme dérisoire
Le reste après l’annonce
Le chanteur Antoine (de son vrai nom Pierre Antoine Muraccioli) trouve qu’on n’est pas fait pour travailler onze mois sur douze. Lui qui a mené une carrière musicale pendant 8 ans, de 1966 à 1974, a ensuite allié passion et travail en sortant DVD et livres de ses voyages en bateau à travers le monde. Mais le chanteur qui fête ses 80 ans ce 4 juin a encore un port d’attache en France, une maison loin de tout.
Ne lui parlez pas de sédentarité ! Antoine ne supporterait pas ce style de vie. D’ailleurs, interviewé par Le Figaro (numéro du 4 juin), lorsqu’on lui demande si vivre dans l’éloignement comme Francis Cabrel aurait pu lui plaire, il répond : «Je suis né voyageur. Cabrel est né près d’Agen à Astaffort. Il a grandi dans ce village de 2000 habitants. Il s’y est marié. Il y travaille. Il y a élevé ses enfants… J’ai toujours voulu autre chose. Là-bas, je retourne au Queensland en Australie en décembre où mon catamaran est au sec chez un ami. L’hiver prochain, j’irai plus au sud.«
La ferme d’Antoine au milieu des châtaigniers
Mais d’ici l’hiver, Antoine ira ailleurs se ressourcer dans un endroit qu’il affectionne particulièrement, sa ferme. Il dit toujours Figaro : « Je prends ma carte d’abonné senior SNCF et je vais sauter dans l’Intercité en direction de Clermont-Ferrand. Je descends à Riom-Châtel-Guyon puis après vingt minutes dans ma Clio, je retrouve ma ferme aux volets bleu lagon en pleine nature.» Un bâtiment aux notes colorées donc dont il ne pouvait se débarrasser aujourd’hui. Il continue: « Je l’ai découvert par hasard et je l’ai acheté pour une somme dérisoire avec mon premier tampon. Nous y vivons avec ma compagne, au milieu des chênes et des châtaigniers. C’est très vert, évidemment il pleut souvent. (Rires) Nous roulons en vélo électrique sur des petites routes. C’est mon île.« Voici donc le paradis terrestre d’Antoine qu’on aurait du mal à imaginer de toute façon au cœur d’une ville animée. C’était pourtant le cas il y a des années. Il possédait une maison dans l’ouest parisien, une propriété qu’il devait se séparer après un terrible échec financier.