Si l’Américain reconnaît qu’à première vue, « ces médailles olympiques sont superbes », il déplore sur ses réseaux sociaux la vitesse à laquelle elles se dégradent.
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Le revers de la médaille, son caractère éphémère ? C’est en tout cas ce que déplorait le skateur olympique Nyjah Huston sur son compte Instagram, vendredi 9 août, dix jours après avoir décroché la troisième place du podium aux Jeux olympiques de Paris, le 29 juillet dernier. Si l’Américain a reconnu qu’à première vue, « Ces médailles olympiques sont superbes »il a déploré la rapidité avec laquelle ils se détériorent. « La médaille semble avoir été à la guerre et en être revenue »il l’a abordé dans une autre publication.
Entre les « transpirer » et ayant laissé ses amis là-bas « à porter pendant le week-end »il a constaté que la surface devenait « rugueux » et que la médaille commençait même à « s’écailler ». « Il « Peut-être que la qualité doit être un peu améliorée » Les médailles olympiques, a-t-il conclu. En moyenne, Une médaille nécessite 15 jours de travail et il a fallu en produire 5 084 exemplaires. C’est le joaillier Chaumet, propriété de LVMH, partenaire premium des Jeux olympiques et paralympiques, qui les a conçues et réalisées dans ses ateliers de la place Vendôme.
Un porte-parole de l’organisation des Jeux olympiques de Paris a assuré au Time que tous les athlètes recevront des médailles de remplacement pour chaque médaille endommagée. « Paris 2024 travaille en étroite collaboration avec la Monnaie de Paris, institution chargée de la production et du contrôle qualité des médailles, ainsi qu’avec le Comité National Olympique de l’athlète concerné, afin d’évaluer la médaille et de comprendre les circonstances et la cause du dommage. »a répondu ce porte-parole dans un communiqué envoyé aux médias américains.