Cette cour, qui pourrait poursuivre des dirigeants russes élevés pour leur rôle dans l’invasion de l’Ukraine, serait « complémentaire à la Cour pénale internationale », qui peut enquêter sur d’autres types de crimes, mais pas le crime d’agression.
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L’Ukraine et ses partenaires européens ont approuvé, le vendredi 9 mai, la création d’un tribunal pour juger le « Crime d’agression » Russe, selon un communiqué du ministère ukrainien des Affaires étrangères. « Nous accueillons l’achèvement des travaux techniques sur le projet d’instruments juridiques nécessaires à la création, dans le cadre du Conseil de l’Europe, d’un tribunal spécial pour le crime d’agression contre l’Ukraine »Spécifie une déclaration conjointe publiée par le ministère ukrainien, déclarant qu’elle avait été validée par le chef de la diplomatie européenne, Kaja Kallas. Cela participe vendredi, avec un grand groupe de ministres ukrainiens, lors d’une visite à Lviv, à l’ouest de l’Ukraine.
Ce tribunal spécial aura « FormulaireAndat pour initier des poursuites contre des hauts fonctionnaires « Russes pour « »La décision de recourir à la force armée contre un autre État, en violation de la charte des Nations Unies « Spécifie le site du Conseil de l’Europe. Le corps « Se concentrerait sur les hauts dirigeants politiques et militaires responsables de la planification, de la préparation, du lancement ou de l’exécution de l’attaque contre l’Ukraine »ajoute l’institution. « Le peuple biologique ou nord-coréen pourrait être poursuivi si des preuves montrent qu’elles ont joué un rôle important dans le crime d’agression contre l’Ukraine. »
Ce tribunal serait « Complémentaire à la Cour pénale internationale » (ICC), qui est « Compétent pour enquêter sur les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et le génocide en Ukraine » mais « n’a pas actuellement l’autorité légale nécessaire pour poursuivre le crime d’agression »Spécifie le Conseil de l’Europe. Ce serait « Financé par un groupe d’États qui souhaitent soutenir cette initiative, qui va au-delà de l’adhésion au Conseil de l’Europe, en coopération avec l’Ukraine ».