A première vue, sa timidité ne correspond pas à sa carrure, et son sourire, assez blanc pour devenir le visage d’une marque de dentifrice, n’invite pas à la prudence. Mais c’est au moment de la poignée de main que l’avantage génétique de Lucas Perri, impitoyable, se fait sentir. Ce costaud compresseur de phalanges, qui n’a sans doute jamais de mal à ouvrir ses pots de confiture, parle d’une voix douce, et il est presque gêné quand il s’agit de justifier d’où il tire cette force qui lui permet d’envoyer les ballons si loin, à l’autre bout du terrain. « Oh, c’est juste beaucoup de travail. » il souffle en mimant le fait de soulever une barre imaginaire.
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