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NARRATIF – Pour les Républicains, l’inclination présidentielle en faveur d’un front républicain avec le Nouveau Front Populaire couvre « la pire des transgressions».
Le changement de ton du président de la République et du Premier ministre à l’égard du Nouveau Front populaire consterne la droite. C’est l’extrême droite qui est sur le point d’accéder aux plus hautes fonctions, personne d’autre « , a jugé Emmanuel Macron lors d’une réunion avec ses ministres, prévenant que « pas une voix » ne devrait pas aller « à l’extrême droite »lorsque Gabriel Attal invite à diriger une « lutte ».
Chez les républicains, les partisans d’une position « autonome et indépendant »distincte de celle adoptée par Éric Ciotti allié au RN, on reconnaît que cette alliance tactique en vue du second tour est « inquiétant » pour tous les électeurs de droite effrayés par « l’épouvantail » Mélenchon. « Comment un chef d’entreprise peut-il accepter cela ? C’est la prophétie de Sarko qui se réalise. Il avait dit que ça finirait mal. »déplorent-ils chez LR. Le sujet anime les débats parmi les parlementaires et le nouvel axe « Macron-Mélenchon » seulement « pour renforcer » questions…