Divertissement

Louane se confie sur ses troubles alimentaires : « C’est un combat long et difficile »

Ce vendredi marque le grand retour de Louane dans les magasins. Deux ans plus tard Sentimentsla chanteuse et actrice révèle Soloson nouvel album dans lequel elle collabore notamment avec P3gase, alias son compagnon Florian Rossi.

Louane se confie sur ses troubles alimentaires

Dans ce nouvel album, Louane se donne pleinement et intimement. Par exemple, elle parle pour la première fois de ses problèmes d’alimentation. Elle chante ainsi :J’ai peur qu’à chaque fois que je mange, c’est un morceau de moi que je mange et c’est comme ça depuis que je suis petite. ». Interrogé par Le Parisien/Aujourd’hui en France sur ce titre, Louane Emera refuse »approfondir cette question car elle n’est pas résolue. « Mais je n’ai aucun problème à me dire que je souffre de dysfonction érectile (trouble de l’alimentation) depuis des années. C’est un combat long et difficile pour s’en sortir. D’autant plus que mon corps évolue sous les yeux des gens. Je me sens dix fois mieux dans mon corps aujourd’hui qu’à 16 ans, lorsqu’ils me connaissaient enfant. »ajoute-t-elle. Si elle assure « assumer la responsabilité de votre corps« aujourd’hui, elle admet qu’elle »souffre encore parfois intérieurement ». « Ce n’est plus constant comme avant »précise-t-elle malgré tout.

Louane face aux critiques sur son physique

Revenant sur les nombreuses attaques qu’elle doit subir sur son physique, Louane confie qu’elle « a passé son samedi à pleurer devant Twitter » après avoir été victime de grossophobie pour la première fois lors des Victoires de la Musique 2019.Maintenant, j’essaie de m’accepter et je le partage dans mes chansons. Si je peux aider les gens avec mes chansons, c’est génial. »ajoute l’ex-entraîneur de La voix des enfants. Maman d’une petite Esmée née en 2020, Louane est « fais très attention à ce qu’elle lui laisse.. « Cette chanson « Douce » est la sœur du titre « Secret ». J’y parle à ma fille en lui disant de ne pas faire les mêmes erreurs que moi, c’est-à-dire d’avoir laissé (jouer) la petite musique triste que j’entendais me ronger de l’intérieur. Je fais très attention à ce que je lui laisse et à ma santé mentale. J’ai repris ma thérapie à sa naissance, je ne vais pas lui reprocher mes névroses. »conclut-elle.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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