Alors que trois nouveaux otages ont été libérés ce samedi, la première libération commence à parler de leurs conditions de détention entre les mains du Hamas. Et certains d’entre eux soulèvent des questions: Emily Damari, publiée le 20 janvier, dit par exemple après avoir été conservée dans les installations de l’UNRWA, un bureau des Nations Unies dans la bande de Gaza.
Son épreuve a commencé le 7 octobre 2023 pour se terminer jusqu’à 471 jours plus tard. Emily Damari, un otage israélo-britannique supprimé par le Hamas a été publiée le 20 janvier, grâce à l’accord de trêve entre Israël et l’organisation terroriste. Si les autorités israéliennes ont été traitées immédiatement à son retour, elle commence à briser le silence sur ses conditions de détention, dont certaines créent la controverse.
Unwra, une agence très controversée en Israël
Emily Damari a révélé que pendant une partie de sa longue période de captivité, elle était détenue dans les locaux de l’UNRWA, l’agence des Nations Unies en charge des réfugiés palestiniens et présente dans la bande de Gaza. Selon l’ancien otage, les responsables Unwra savaient même qu’il était conservé en captivité dans leurs locaux, mais qui n’a rien fait pour l’aider.
Les comptes des anciens otages sont progressivement prouvés et dans le compte de dépôt. Il est même probable que dans les semaines, au cours des prochains mois, d’autres révélations sur la collaboration d’une partie des responsables de UNDAM avec des terroristes du Hamas, soit révélée. Pour rappel, neuf employés de l’agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens « pourraient avoir été impliqués » dans les attaques du Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, selon l’enquête interne des Nations Unies qui a été totale sur 19 personnes.