Divertissement

Lorène Vivier (Fort Boyard) parle de la maladie de Charcot dont elle souffre

Ce samedi 13 juillet, France 2 propose un nouvel épisode de Fort BoyardUne nouvelle équipe s’est lancée à l’assaut du fort menée par Claude Dartois, le capitaine. L’occasion pour les téléspectateurs de retrouver l’athlète Lorène Vivier, atteinte de la maladie de Charcot.

Ce samedi 13 juillet, une nouvelle équipe arrive à Fort Boyarddont le capitaine n’est autre que Claude DartoisUn rôle qu’il endossait pour la première fois.C’est une grande responsabilité, c’est de donner l’exemple, donc c’est ce que je vais essayer de faire.« , confie-t-il dans les premières secondes de ce troisième épisode. A ses côtés, il a pu compter sur Marine Lorphelin, Pascal Bataille, la chanteuse Maëlle, Mario Barravecchia, finaliste de la première saison de la Académie des étoiles et sur Lorène Vivier, membre de l’association Arsla qui lutte contre la maladie de Charcot, dont souffre cette dernière.

Lorène Vivier (Fort Boyard) se souvient du jour où elle a appris qu’elle était atteinte de la maladie de Lou Gehrig

Lorène Vivier a appris en novembre 2022 qu’elle était atteinte de cette maladie. Elle avait 35 ans. En janvier dernier, elle confiait à Paris Matchcommençant par décrire les symptômes qu’elle présentait avant que le diagnostic ne soit posé.J’ai remarqué, début 2022, une perte de force dans ma main gauche. Je m’en suis rendu compte quand j’ai verrouillé la voiture. Je ne pouvais plus appuyer sur la télécommande. Huit, neuf mois plus tard, je suis allé voir mon médecin. Ils ont fait toute une batterie de tests et le diagnostic a été posé le 9 novembre 2022 à 12hJe me souviens quand le neurologue m’a dit que j’avais une sclérose latérale amyotrophique« , a-t-elle expliqué. Une maladie incurable à ce jour qui se manifeste ainsi : « Mon cerveau devient noir. J’écoute, mais au bout d’un moment, je n’assimile plus ce qui se dit. Je pense que c’est mon cerveau qui est passé en mode protection. » dit-elle.

Lorène Vivier : « Chaque jour, mon autonomie est volée« 

Une fois le diagnostic posé, Lorène Vivier découvre sa maladie et c’est à ce moment-là qu’elle prend conscience de sa gravité et de la courte espérance de vie qui en résulte.Je m’en rends compte car chaque jour, c’est mon autonomie qui m’est voléeJ’ai du mal à faire les choses du quotidien, alors je m’en rends compte quand même, j’ai tellement envie de m’en sortir que c’est ce qui me sauve aujourd’hui« , confie-t-elle. Une maladie qui lui fait voir la vie différemment. »J’ai repris le travail tout de suite, pendant six mois, et plus ça avançait, moins ça avait de sens pour moi et plus j’avais envie de faire des choses qui font avancer la recherche.« , dit-elle. Sa vie a « plus de saveur« Aujourd’hui, celle qui a rencontré des gens »incroyable » Depuis.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
Bouton retour en haut de la page