L’ONU, « très préoccupée » après la frappe israélienne sur Beyrouth, appelle à la « plus grande retenue »
Image de couverture : Sur les lieux d’une frappe israélienne dans la banlieue sud de Beyrouth, au Liban, le 20 septembre 2024. Mohamed Azakir / REUTERS
Participent également à ce live : Aurélie Collas, Louise Vallée, Glenn Cloarec, Sandra Favier, Solène L’Hénoret
Une deuxième série d’explosions d’équipements de communication a eu lieu mercredi 18 septembre au Liban. Au moins vingt personnes sont mortes et 450 autres ont été blessées, selon le dernier bilan publié en fin de soirée par le ministère libanais de la Santé.
Les explosions ont eu lieu notamment dans la banlieue sud de Beyrouth, dans la vallée de la Bekaa, dans le district de Saïda (Saïda) et dans la région de Baalbek, à l’est du pays.
Au lendemain d’une attaque attribuée à Israël, qui a fait exploser des milliers de téléavertisseurs à travers le pays, des talkies-walkies appartenant à des membres du Hezbollah seraient cette fois en cause, selon ce qu’ont rapporté aux agences de presse plusieurs sources proches du mouvement chiite libanais et des sources sécuritaires.
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