On l’oublie parfois face aux images des télescopes spatiaux, mais la majorité des observations de l’Univers et des détections d’exoplanètes, d’astéroïdes ou de comètes ont lieu depuis la Terre. Et plus le sujet d’étude est éloigné, plus le temps de pose est long, plus les perturbations possibles sont nombreuses.
Depuis 2019 et les premiers déploiements de Starlink, associations, chercheurs et instituts alertent : leur discipline évolue lentement à jamais, et ils n’ont aucun moyen d’action concret face aux industriels. Certains, comme SpaceX, ont mis en place des programmes spécifiques, et Starlink par exemple, pour une constellation de plus de 6 000 satellites actifs, s’emploie à les rendre moins visibles.
Cependant, ces efforts sont parfois limités : la dernière génération de satellites Starlink émet trop d’ondes radio, masquant les sources du ciel profond pour certains télescopes (comme le LOFAR européen, Low Frequency Array). Mais surtout, les astronomes ne sont pas au bout de leurs peines.
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