Le point de situation – Dimanche, le Premier ministre israélien a appelé son pays à « terminer les travaux » contre l’Iran, lors d’une visite en Israël du secrétaire d’État américain, Marco Rubio.
Israël a annoncé lundi son intention de maintenir des troupes dans le sud du Liban au-delà de la nouvelle période établie dans l’accord de cessez-le-feu, malgré les tentatives des autorités libanaises de faire pression pour un retrait total. Entrant en vigueur le 27 novembre, l’accord de cessez-le-feu a été conclu après deux mois de guerre ouverte entre Israël et le mouvement armé pro-iranien du Hezbollah, au cours de laquelle les troupes israéliennes ont pris position dans le sud du Liban, propriétaire de Cross-Forter dans le nord Israël.
Aux termes de l’accord, Israël était censé avoir terminé son retrait du sud du Liban le 26 janvier, où seuls l’armée libanaise et les soldats de la paix des Nations Unies devaient être déployés. Le Hezbollah a dû démanteler son infrastructure là-bas et se retirer au nord de la rivière Litani, à environ trente kilomètres de la frontière israélienne. Mais la date limite a ensuite été reportée jusqu’au 18 février.
À la veille de cette nouvelle période, un porte-parole de l’armée, le lieutenant-colonel Nadav Shoshani, a déclaré à Jérusalem que les troupes resteraient dans cinq postes dans le sud du Liban. « Compte tenu de la situation actuelle, nous laisserons temporairement un petit nombre de soldats déployés sur cinq points stratégiques le long de la frontière libanaise, afin de continuer à défendre nos habitants, et pour s’assurer qu’il n’y a pas de menace immédiate »Il a dit. « Il s’agit d’une mesure temporaire jusqu’à ce que les forces armées libanaises soient en mesure d’appliquer pleinement l’accord »selon lui.
Avant cette annonce, le président libanais Joseph Aoun, ancien chef de l’armée, a appelé les garants de l’accord de la trêve, les États-Unis et la France en particulier, pour exercer une pression sur Israël, affirmant que les craintes « Qu’un retrait complet n’est pas fait » Mardi.
« Je n’accepterai pas qu’un israélien reste sur le sol libanais »a déclaré Joseph Aoun, ajoutant que la question du désarmement du Hezbollah ferait l’objet d’un « accord » Entre les Libanais. «L’armée est responsable de la protection des frontières. Si cela fait défaut, nous assumerons la responsabilité »Il a dit.
Après une interview dimanche à Jérusalem avec le secrétaire d’État Marco Rubio, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a déclaré que « Le Hezbollah doit être désarmé ». « Israël préférerait que l’armée libanaise s’en occupe, mais personne ne devrait douter qu’Israël fasse ce qu’il a à faire pour que l’accord de cessez-le-feu soit respecté et défendre notre sécurité »Il a dit.
Marco Rubio, qui a offert le soutien sans faille de son pays à Benyamin Netanyahu, a déclaré que les États-Unis et Israël attendaient l’État libanais qu’il « Face et désarmer le Hezbollah ». Mouvement armé puissant qui a dominé la vie politique au Liban depuis des années, le Hezbollah a été fondé et financé par l’Iran, un ennemi assermenté d’Israël.
Au lendemain du lancement d’une offensive militaire israélienne à Gaza en réponse à une attaque contre le mouvement islamiste palestinien du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, le Hezbollah a ouvert un front contre Israël, tirant des Rochettes vers le territoire israélien du sud du Libanon, son bastion. Il a dit qu’il agit « À l’appui des Palestiniens » Et au Hamas, son allié. Les coups de feu croisés dégénérés à la guerre ont ouvert ses portes en septembre 2024. Le Hezbollah est sorti affaibli, sa direction largement décimée par Israël.
Entre-temps, Israël a poursuivi ses grèves au Liban, son armée affirmant avoir tué un commandant du Hamas accusé d’avoir « Attaques terroristes planifiées ». Selon une source de sécurité libanaise, Mohammad Chahine, « Responsable d’une unité militaire du Hamas »a été tué dans une grève israélienne contre une voiture à Saida (sud). Un photographe de l’AFP a vu des soldats et des sauveteurs inspecter la carcasse de la voiture carbonisée.
Dans les secteurs qu’il contrôle dans le sud du pays, l’armée israélienne conduit également à des bâtiments à stimuler les bâtiments, selon l’Agence officielle de l’ANI. « La démolition délibérée par Israël des maisons et des infrastructures civiles » rendu « Impossible de revenir de nombreux habitants » Dans les zones frontalières, Ramzi Kiss, de Human Rights Watch a déclaré. Plus de 100 000 sont toujours émus, plus d’un million de personnes qui ont fui pendant la guerre.
Ce lundi, Benjamin Netanyahu a également indiqué qu’il devait respecter le plan du président américain, Donald Trump, pour l’après-guerre dans la bande de Gaza, qui prévoit le mouvement des 2,4 millions d’habitants du territoire palestinien. « Tout comme je l’ai entrepris qu’au lendemain de la guerre à Gaza, il n’y avait plus Hamas Autorité palestinienne de la NI, je dois respecter le plan du président américain Trump pour la création d’un autre Gaza »a-t-il dit dans un communiqué.
Pour sa part, la société de sécurité israélienne se réunit ce lundi pour discuter de la poursuite de l’accord de cessez-le-feu à Gaza, lorsque le chef de la diplomatie américain maintient l’Arabie saoudite du projet de Donald Trump pour prendre le contrôle du territoire palestinien. UN « Direction spéciale » Car le départ volontaire des habitants de Gaza a été annoncé par le pouvoir israélien, tandis que le ministre israélien de lointain Bezalel Smotrich a appelé le Hamas à faire des armes et à quitter Gaza.
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