L’influenceuse Poupette Kenza, accusée de tentative d’extorsion et d’association de malfaiteurs, reste en prison
Poupette Kenza, de son vrai nom Kenza Benchrif, a été interpellée le 4 juillet à la suite d’une plainte déposée le 23 février par un couple qui « a fait l’objet de diverses formes de surveillance (physique, installation de mini-caméras à proximité de leur domicile et de balises GPS placées sur leur véhicule) et a été menacé physiquement sous condition de remettre une somme de 200.000 euros », a indiqué lundi le procureur de la République de Rouen, Frédéric Teillet, dans un communiqué.
Arrêtée à son retour de Dubaï, où elle s’était installée, la jeune femme a été inculpée de tentative d’extorsion en bande organisée et d’association de malfaiteurs et écrouée.
Dans le viseur de la justice
Son placement en détention provisoire a fait l’objet d’un débat jeudi devant le juge des libertés et de la détention. « Je confirme le placement en détention provisoire de Mme Kenza Benchrif, conformément aux réquisitions du parquet de Rouen, par ordonnance du juge des libertés et de la détention en date de ce jour », a indiqué Me Teillet.