L’entraînement des Bleus a été retardé en raison des embouteillages à Athènes. ANGELOS TZORTZINIS / AFP
L’équipe de France a vécu une veille de match inédite lundi soir dans la ville grecque pour son dernier match en 2023.
Envoyé spécial à Athènes
« Nous nous excusons pour le retard, mais le trafic à Athènes nous a causé des problèmes.» Lundi soir à l’Opap Arena, le chef de presse de l’équipe de France a pris la parole pour s’excuser du retard de trente minutes de Didier Deschamps et Adrien Rabiot, attendus pour répondre aux questions des médias à 18h30. Le contingent français a finalement débarqué à 19h. pm
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Le milieu de terrain des vice-champions du monde a soufflé d’agacement lorsqu’une remarque a été faite sur la circulation dans la capitale grecque. Idem pour le sélectionneur, qui s’est empressé de présenter ses excuses aux médias français présents pour le dernier déplacement des Bleus en 2023, ainsi qu’aux locaux. « C’est hors de notre contrôle», a-t-il précisé, lui qui déteste ces revers de dernière minute, avant de se consacrer aux obligations d’avant-match.
Dans la précipitation, l’entraînement de l’équipe de France, prévu à 19 heures locales (1 heure de moins en France), a finalement été reporté à après 19h30 Guy Stéphan, l’adjoint de « DD », accompagné de Cyril Moine le préparateur physique, mais aussi Franck Raviot qui s’occupe des gardiens, s’est empressé de mettre en place les exercices pendant que les joueurs se changeaient dans les vestiaires du magnifique stade grec. En atterrissant sur le terrain, Didier Deschamps, averti par son bras droit, découvre que les filets des deux buts n’étaient pas en place. Ce qui a donné lieu à un échange houleux avec l’officiel présent au bord du terrain.
Explication franche entre Deschamps et un officiel
Agacé, le patron des Bleus a fait connaître son mécontentement, avant que tout rentre dans l’ordre et que les deux hommes terminent leur discussion sur un ton plus cordial et par une poignée de main amicale. Quelques secondes plus tard, les joueurs entraient sur le terrain et la séance pouvait commencer. Sous le regard d’un entraîneur attentif, reposé sur sa glacière, en raison d’un mal de dos qui le gêne depuis le début du rallye.
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