Irakien réfugié et activiste anti-islam, Salwan Mamika avait, en 2023, déclenché des manifestations de colère dans de nombreux pays musulmans après avoir eu brûlé dans des copies publiques du Coran en Suède. Dans la nuit du mercredi 29 janvier au jeudi 30 janvier, il a été abattu dans le sud-ouest de Stockholm.
La police a été appelée Plans dans un bâtiment résidentiel à Sodoutäljeoù le militant vivait. À son arrivée dans le bâtiment, elle a trouvé « un homme touché par des balles qui ont été emmenées à l’hôpital », avant plus tard, indiquant qu’il était mort. Dans le cadre de l’enquête ouverte pour le meurtre de Salwan Mamika, Cinq personnes ont été arrêtées. L’AFP a repris le Premier ministre suédois Ulf Krister qui a déclaré que les services suédois de renseignement et de sécurité (Säpo) étaient profondément impliqués, car il y a évidemment un risque de lien avec une puissance étrangère. «
Brûler un Coran est légal en Suède au nom de la liberté d’expression et du droit de blasphémer. Selon la loi, c’est une insulte à une religion et non à un groupe de personnes: il y a donc Aucune incitation à la haine raciale.
Un tribunal de Stockholm devait rendre son jugement ce jeudi sur les accusations d’incitation à la haine contre Salwan Mamika. La décision a été reportée au 3 février.