l’histoire d’un retour après neuf ans de silence

Elle s’affiche en visioconférence depuis le Portugal, où elle réside, et n’a rien perdu de son flow, de sa liberté d’expression qui, écrivait Claire Vassé dans « Corps amoureux » (Denoël), « vous propulse à l’étage supérieur quand vous pensez tourner en rond, là où les idées prennent vie parce qu’elles sont nouvelles ».
Réalisateur de « L’amour parfait ! ou « Romance », si souvent décriée pour ses obsessions dérangeantes : domination et servitude, honte et pureté, peinture d’un déclin qui vous élève, Catherine Breillat, victime d’un AVC en 2005 et semi-hémiplégique, n’avait plus tourné depuis » Abus de faiblesse », projection de ses déboires avec Christophe Rocancourt (700 000 euros extorqués, il a été condamné).
« Fait d’actualité sordide » dont elle ne veut plus parler, si ce n’est pour rappeler le titre d’un journal de l’époque : « La Vieille », publié « sans personne, aucune féministe, personne
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