Leandor Tulia, ancienne entraîneur de la médaillée olympique argentine de Sailing Eugenia Bosco, a été arrêtée lundi à son domicile dans la banlieue nord de Buenos Aires.
The former coach of the Argentine Sailing Olympic medalist at the 2024 Olympics, Eugenia Bosco, was arrested in Buenos Aires to be heard, after complaints of several women, including the athlete, for alleged sexual assault during their adolescence, according to their adolescence, according aux sources judiciaires mardi. Leandro Tulia, 53 ans, a été arrêté lundi à son domicile à Vicente Lopez, dans la banlieue nord de la capitale, près du Yacht Club d’Olivos où il a mené plus de deux décennies et à partir duquel il a été licencié après la plainte.
Bosco, 27 ans, a obtenu de l’argent à Paris-2024 dans la catégorie mixte NACRA 17, l’une des trois médailles argentines aux Jeux. En janvier, elle a déclaré aux abus présumés dans une interview du Daily La Nacion, mais avait en fait déposé une plainte auparavant, en octobre, deux mois après sa médaille olympique. « »Je ne sais pas comment l’expliquer, mais c’est quelque chose qui s’est produit, que je n’ai pas contrôlé. J’avais 11 ou 12 ans et je l’ai mis de côté dans ma vie jusqu’à il y a quelques années que je l’ai réaliséElle a dit.
Quatre plaintes
Elle n’avait pas donné de détails, mais a rapporté que les faits allaient pendant les voyages en compétition, ou lorsqu’elle est restée à dormir au Yacht Club, elle venait d’une ville à 150 km de Buenos Aires. « »Les choses se sont passées dans un petit cercle que nous n’avons pas contrôlé, mais sur lequel cette personne avait un grand contrôleElle a expliqué.
L’entrevue, médiatisée, avait été catalyseur et au moins six femmes, mineurs au moment des faits présumés, s’étaient rapprochés de la justice, a déclaré le procureur solaire de Lida Osores à l’AFP. Selon la presse, l’audience de mardi représente environ quatre plaintes efficaces. L’avocat de l’ex-Coach Daniel Mazzocchini a déclaré mardi à l’AFP que son client serait entendu pendant la journée par un magistrat. Auparavant, l’avocat avait mentionné un dossier avec une grande « difficulté de prouver », pour des faits présumés datant de plus de 15 ans, et dit sa confiance dans un licenciement.