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Ce sont une trentaine de pages colorées, émaillées de personnages et de graphiques, mis en ligne sur le site du ministère des Sports le lendemain de Noël. Le plan national d’adapter les pratiques sportives au changement climatique (PNACC) – « Priorité absolue »Selon les paroles d’Amélie Oudéa-Castera, en réponse à une question posée au Sénat, le 30 mai 2024, lorsqu’elle était à la tête du ministère a été publiée sur les Catimini, le 26 décembre, à la fin de la vacance du gouvernement. Une motion de censure avait abandonné le gouvernement de Michel Barnier, et Marie Barsacq, nommée le 23 décembre avec le gouvernement de François Bayrou, n’avait pas encore pris possession des locaux de l’avenue de France. Pour le plan, sur lequel les services et les entreprises de deux ministres successifs ont travaillé pendant deux ans, non enterré, l’administration a choisi de la rendre publique.
Qu’est-ce qui allait devenir avec la nouvelle équipe gouvernementale et l’annonce de solides restrictions budgétaires? La réponse reste vague, tandis que la participation est vitale pour le sport. À un moment où la France se réchauffe 1,5 ° C et les scientifiques anticipent une augmentation des températures de 2 ° C en 2030 et 4 ° C en 2100, il est devenu urgent de préparer le secteur sportif aux conséquences de ce changement climatique. L’organisation des Jeux olympiques d’hiver de 2030 (Jeux olympiques) dans les Alpes et les critiques fortes selon lesquelles elle a élevé la place de la France dans une situation qui ne nécessite aucun résultat tangible. Le plan imaginé essaie d’esquisser un tour pour toute la sphère sportive.
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