Tous les lycéens entendent parler des bâtonnets et des cônes, ces neurones photorécepteurs qui tapissent la rétine et qui s’activent lorsque leur parvient la lumière pour convertir ce signal lumineux en signal électrique, compréhensible par le cerveau. Ce que l’on sait moins en revanche, c’est que la rétine contient d’autres couches de neurones, qui vont se passer le signal et véritablement l’analyser avant son transfert au cerveau.
Les éléments de la scène visuelle observée sont repérés par différents types de cellules qui passent ensuite ce morceau d’information spécifique au cerveau. Une nouvelle étude, parue dans la revue PNAS a étudié l’activité électrique des cellules de la rétine de larves de salamandres devant différentes vidéos représentant le monde naturel. Ces scènes visuelles variées ont bel et bien activé des cellules très différentes de la rétine mais les chercheurs ont observé un phénomène étonnant. Certains de ces neurones s’activaient systématiquement ensemble, peu importe le type de scène qui leur était présenté.
Nous en parlons avec Olivier Marre, directeur de recherche Inserm à l’Institut de la vision à Paris, qui a participé à cette publication.
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