L’arrêt « électrique » sur autoroute induit une pause plus longue : 20 à 30 minutes en moyenne. Les concessionnaires l’ont bien compris, et plusieurs aires de repos l’ont déjà intégrée à leur architecture et à leur offre de services. « Historiquement, l’aire de repos était un lieu de transit, de passage, mais elle devient de plus en plus un lieu de vie », souligne-t-on chez Vinci Autoroutes. Exit, donc, l’aire de repos anonyme et purement fonctionnelle. L’heure n’est plus « aux bâtiments en forme de cube et aux hangars en contreplaqué », poursuit-on chez le géant de l’asphalte, ils veillent, « autant que possible, à ce que l’architecture s’incarne dans les territoires ».
