Les retours sur Star Wars Outlaws ne sont pas bons du tout ! – LaPetitePelle dessine JeuxiVideo.com N°545
Actualités sur jeuxvideo.com Les retours sur Star Wars Outlaws ne sont pas bons du tout ! – LaPetitePelle dessine JeuxiVideo.com N°545
C’est une année compliquée pour Ubisoft. Les joueurs ne sont pas tendres avec les Star Wars Outlaws, et notre designer l’illustre dans ce nouveau chapitre de LaPetitePelle.
Les joueurs ne sont pas gentils avec Ubisoft.
Comme vous le savez, Star Wars Outlaws n’a pas été un grand succès pour Ubisoft (1 million d’exemplaires vendus en un mois). Le titre, sorti en août dernier, se déroule dans l’univers de la légendaire saga cinématographique Star Wars, entre la période de L’Empire contre-attaque et du Retour du Jedi. Nous incarnons un hors-la-loi nommé Kay Vess qui doit réaliser le braquage du siècle.
Si sur le papier le jeu avait tout pour plaire, malgré tout, ça n’a pas fait l’unanimité, la faute notamment à une action-infiltration qui manque d’originalité. Nous pouvons confirmer cela en voyant la note Metacritic, avec 76 de la presse et 5,4/10 des joueurs.
De plus, il faut savoir que le titre avait un sacré rival qui lui a fait de l’ombre à sa sortie : Black Myth : Wukong. En très peu de temps, le titre a conquis le cœur des joueurs, au point de devenir le jeu solo le plus populaire de 2024. Il s’en est vendu à plus de 18 millions en 2 semaines, là où Outlaws n’en a réalisé qu’un million.
Un échec pour le studio
Nouveau coup dur pour Ubisoft, le studio français en difficulté : en début d’année, la société a enregistré une perte de valeur de 60% en Bourse. Ce Star Wars Outlaws aurait dû être un jeu lui permettant de remonter progressivement, les derniers titres du studio n’ayant pas fait l’unanimité. On pense à Skull and Bones, qui a été maintes fois repoussé à Avatar Frontiers of Pandora (même si le jeu a été apprécié, il n’a malheureusement pas répondu aux attentes du studio). La « dernière chance » de l’entreprise semble être Assassin’s Creed Shadows qui a été reporté à 2025.
