En raison des Jeux olympiques, les bureaux du ministère de l’Economie sont largement déserts ces jours-ci. Sur le navire Bercy, il ne reste quasiment que le capitaine. Depuis la démission du gouvernement la semaine dernière, Bruno Le Maire est cantonné, comme ses pairs, à la gestion des affaires courantes. Mais en attendant un remplaçant qui se fait attendre, le ministre s’entête à maintenir le cap qu’il s’est fixé : réduire les dépenses publiques afin de ramener le déficit public sous les 3 % du PIB en 2027, sans augmenter les impôts.
Même si son successeur peut passer outre, il estime qu’il est de sa responsabilité de préparer un nouveau train d’économies pour l’an prochain. « Je me suis engagé dans le redressement des finances publiques depuis 2023, avec une opposition farouche de la gauche comme de la droite. Je l’ai poursuivi en 2024. Et je prépare un budget pour 2025 qui garantisse un retour sous les 3% de déficit public en 2027, conformément aux engagements que j’ai pris et aux règles européennes », plaide Bruno Le Maire.
Les « autorisations d'engagement », correspondant aux crédits alloués au Fonds vert, passent de 2,5 milliards en 2024 à 1…
Vendredi, ce sera au tour du conseil d'administration de la Fondation nationale des sciences politiques, qui gère les cordons de…
Avez-vous manqué les derniers développements sur la guerre en Ukraine ? 20 minutes vous fait le point chaque soir. Entre…
Un panache de fumée s'élève à Bamako tandis que des coups de feu et des explosions se font entendre, le…
La surprise a été totale. Y compris pour sa mère, Christine, entraînée par son aînée à la soirée de présentation…
La semaine de la tentation commence enfin pour les filles qui trouvent des prétendants pour une sortie en bateau. Cette…