La perspective d’une taxe sur les capacités de production met le secteur en émoi.
Les « superprofits » des énergéticiens, sur fond de flambée des prix de l’électricité, continuent d’aiguiser l’appétit de Bercy dans sa quête de recettes supplémentaires. Après la contribution sur la rente inframarginale de production d’électricité (Crim), mise en place en décembre 2022 pour la période comprise entre 1euh Juillet 2022 et 31 décembre 2023, voici Crim 2. Nouvelle période et nouvelle portée pour cette nouvelle taxe, dont la plupart des acteurs du secteur craignent qu’elle ne soit rien de moins que temporaire.
Dans sa version 2024, elle ne viserait plus les revenus, mais les capacités de production des électriciens. Une sorte d’impôt professionnel hyperciblé, faisant fi de toute critique de la taxation des moyens de production. Elle frapperait les centrales de plus de 260 mégawatts (MW). Autrement dit, elle épargnerait les petites centrales solaires et éoliennes, et toucherait tout le reste, pour rapporter quelque 3 milliards d’euros…
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