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Le gouvernement a décidé, tandis que l’autorité de la concurrence a préconisé son jugement.
Le gouvernement a décidé en faveur du maintien des prix de vente réglementés de l’électricité (TRV). Ce poste répond à une obligation européenne. Les États membres ont dû soumettre un rapport sur le sujet de la Commission à la fin de l’année … dernier. La France remplit donc ses obligations de quelques semaines de retard. Pour les consommateurs qui ont opté pour ces prix: rien ne change. L’Autorité de la concurrence et la Commission de réglementation énergétique avaient rendu leurs propres rapports fin 2024, avec des conclusions quelque peu différentes. Le premier a préconisé son jugement et le second leur entretien pour une nouvelle période de cinq ans.
« »Les TRV offrent de la stabilité aux consommateurs, qu’ils soient des individus ou des PME», Résume Marc Ferraci, le ministre de l’Énergie et de l’industrie. Leur méthode de calcul, l’intégration des prix des deux années précédentes permet de lisser les secousses de la vente en gros de l’électricité. De plus, les TRV encouragent les fournisseurs alternatifs à offrir des contrats en dupliquant. Selon les autorités, sans une certaine stabilité, ces contrats pourraient disparaître. « »Il y aurait plus de conséquences négatives pour leur suppression que pour leur entretien« Dit le ministère.
Pour les fournisseurs alternatifs, TRVS au contraire le message. Les consommateurs ont été protégés de la hausse des prix pendant la crise énergétique par le bouclier des prix et non par TRV. En outre, les messages gouvernementaux sur la baisse de 15% du TRV le 1er février ont décédé en silence qu’il y avait de nombreuses offres moins chères, car les prix de gros ont baissé. Par conséquent, les prix de ces offres avaient déjà chuté, tandis que le TRV n’a pas chuté avant le 1er février.
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