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Mikhail Metzel via Getty Images
Photo d’illustration. Vladimir Poutine et Donald Trump lors d’une réunion à Osaka le 28 juin 2019.
International – Une réunion de crise. Dans la soirée de ce mercredi 12 février, les dirigeants de la diplomatie française, allemande, polonaise, italienne, espagnole, britannique et ukrainien se sont réunis pendant plusieurs heures à Paris, à la suite des déclarations de Donald Trump et Vladimir Poutine concernant la guerre en Ukraine. Les deux chefs d’État ont en effet indiqué à lancer des négociations « Immédiatement » Pour mettre fin au conflit.
Donald Trump a promis une réunion à venir avec son homologue russe et a prédit un cessez-le-feu « à l’avenir pas si distant » en Ukraine. Le président américain a ensuite informé son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky de l’appel avec Vladimir Poutine.
Pour sa part, Vladimir Poutine a dit à Donald Trump voulant trouver un « solution à long terme » au conflit ukrainien via « Pays de paix « annoncé le Kremlin.
Ces déclarations suscitent la préoccupation des Européens, qui craignent qu’un accord de paix ne soit signé sans leur participation. Le monde n’est pas « une jungle « estimé le chef de la diplomatie espagnole. « » Nous avons un ordre mondial basé sur la charte des Nations Unies qui fonctionne depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale au profit de tous »Rappelé José Manuel Albares Bueno à nouveau.
Placer l’Ukraine dans une position de force
Surtout, les chefs de la diplomatie craignent un accord au détriment de Kiev. «Nos objectifs communs doivent être de placer l’Ukraine dans une position de force. L’Ukraine et l’Europe doivent participer à toute négociation »a écrit les chefs de diplomaties de six pays européens et de l’Ukraine dans un communiqué ce mercredi soir.
« L’Ukraine doit bénéficier de G solide
Aranties de sécurité. Une paix équitable et durable en Ukraine est une condition nécessaire pour une forte sécurité transatlantique »ajoute le texte, qui rappelle l’engagement des pays européens en faveur du« Indépendance, souveraineté et intégrité territoriale » d’Ukraine « Face à l’agression russe « .
« Nous voulons discuter du chemin vers nos alliés américains »Ajout des ministres européens des Affaires étrangères.
Rendre serait « une invitation à tous les tyrans de la planète »
Avant le début de la réunion, l’Annalena Baerbock allemande et l’Espagnol José Manuel Albares Bueno ont également considéré qu’aucune décision sur l’Ukraine ne pouvait être prise « sans Ukraine ».
Le ministre français, Jean-Noël Barrot, avait également lancé: « L’abandon de l’Ukraine, forçant l’Ukraine à la capitulation, consacrerait définitivement la loi des plus fortes et envoyait une invitation à tous les despotes et à tous les tyrans de la planète pour envahir leur voisin avec impunité ». Il a ensuite ajouté: « Il n’y aura pas de paix équitable et durable en Ukraine sans la participation des Européens ».
Dans un article publié sur X à la fin de la réunion ce mercredi soir, le ministre des Affaires a ajouté: «Il y a 10 ans a été signé l’accord Minsk II établissant un cessez-le-feu en Ukraine. Viole à plusieurs reprises, il n’a pas dissuadé la Russie d’envahir le pays en 2022. Si nous voulons repousser la menace et garantir la paix, nous devrons faire de plus en plus ».
Dans le même temps, à Bruxelles, le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, a clairement tracé les lignes rouges de Donald Trump sur l’OTAN et l’Ukraine mercredi. Il a jugé « irréaliste » Pour considérer un retour de l’Ukraine à ses frontières avant 2014, c’est-à-dire comprenant la Crimée. De même, l’adhésion ukrainienne à l’Alliance de l’Atlantique après les négociations de paix est « pas réaliste « Il a dit.
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