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Les médecins ont minimisé ses douleurs pelviennes, elle souffrait en fait d’un cancer massif des ovaires

Les médecins ont minimisé ses douleurs pelviennes, elle souffrait en fait d’un cancer massif des ovaires

Selon les chiffres du Centre de cancérologie Léon Bérard, le cancer de l’ovaire est la 9e cause de cancer chez la femme. Pour l’année 2020, le nombre de nouveaux cas diagnostiqués en France est estimé à 5 320. En Angleterre, une jeune femme atteinte de ce cancer accuse les médecins de ne pas prendre sa douleur au sérieux.

En 2023, à l’âge de 26 ans, elle ressent des douleurs lancinantes dans le bas-ventre. Elle remarque également que ses règles sont irrégulières. Son médecin généraliste lui conseille de surveiller son alimentation et de faire régulièrement de l’exercice. Quelques mois plus tard, ses symptômes s’aggravent et les médecins découvrent un kyste sur son ovaire.

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« Une opération chirurgicale visant à l’enlever un mois plus tard a révélé qu’elle avait une tumeur cancéreuse mesurant 26 cm, soit environ la taille d’un ballon de rugby.« , rapporte le Daily Mail. Les tests ont montré que son cancer s’était propagé, avec une nouvelle masse dans son bassin et du tissu anormal sur son poumon.

Dans 10% des cas, il s’agit de tumeurs malignes ovariennes rares. Cette jeune femme souffrait d’un adénocarcinome mucineux de l’ovaire et a dû subir une ablation des deux ovaires, de l’utérus, de l’appendice et du col de l’utérus.

« En raison du retard du diagnostic, on m’a informé qu’une hystérectomie était ma seule option de survie et qu’ils soupçonnaient que le cancer était en fait au stade trois ou même au stade quatre.« , se souvient la patiente. Aujourd’hui, elle accuse les médecins d’avoir minimisé sa douleur. »Cela m’a fait douter de ma propre expérience et a retardé le diagnostic et le traitement approprié dont j’avais besoin. On m’a dit que j’étais trop jeune pour avoir une maladie grave, surtout en ce qui concerne le cancer des ovaires.« 

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