Quand la connexion fonctionne et qu’ils ont de la batterie, c’est sur les réseaux sociaux que les Gazaouis cherchent un exutoire à leur enfer quotidien. Telegram, Facebook, WhatsApp… Dans des groupes plus ou moins privés, ils commentent les dernières exactions, déversent leur colère contre l’occupant israélien. Et parfois aussi contre le Hamas, toujours au pouvoir dans la bande de Gaza. Au cœur de leur exaspération : les frappes menées dans les zones dites « sûres » par Israël, sous prétexte de viser les « dirigeants du Hamas » ou leurs « structures de commandement », décimant des familles entières. Sur l’un de ces réseaux, sous couvert d’anonymat, un Gazaoui à bout de nerfs écrit : « Les combattants du Hamas viennent délibérément dans chaque zone désignée comme humanitaire par les Israéliens. Ils s’y cachent, pensant qu’au milieu des civils, les Israéliens ne les trouveront pas !
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