Journaliste d’origine biélorusse, Claire travaille chez Purepeople depuis 2019. Fan inconditionnelle de la série Sex And The City, elle connaît aussi par cœur la plupart des sons RnB des années 90 et 2000. Fleur bleue et éternelle romantique, elle s’intéresse à tout particulièrement à la vie amoureuse des stars.
Les filles de Pascal Praud sont aussi bouleversées que leur papa après le décès de leur grand-père Roger. Dans une tribune publiée dans le «JDD», l’animateur de CNews a raconté une scène surnaturelle survenue dans l’Ehpad où est décédé son père. Un fait survenu quelques jours seulement avant sa mort.
Les filles de Pascal Praud sont inconsolables, la perte de leur grand-père marque un tournant dans leur vie
Le reste après l’annonce
Quelques jours après le décès de son père Roger, décédé à l’âge de 90 ans dans un Ehpad de Nantes, Pascal Praud a souhaité lui écrire un hommage dans les colonnes de JDD publié ce 27 octobre 2024. A deux jours de la cérémonie religieuse dédiée à son papa – elle sera célébrée mardi 29 octobre 2024, à 10h30, en l’église Saint Similien de Nantes – l’hôte de CActualités a parlé des derniers jours de son père après que sa famille a pris la décision d’arrêter de le nourrir et de l’hydrater. Il était dans un établissement spécialisé depuis un an car son état s’était considérablement dégradé suite à un accident vasculaire cérébral en 2005.
Ce moment fort entre son père mourant et sa fille
Passant ses journées à dormir, Roger ne s’est réveillé qu’une seule fois lorsqu’une de ses petites-filles lui a rendu visite. Pascal Praud dit : «Mon père n’a pas dit un mot les quatorze derniers jours de sa vie. Il a reçu le sacrement des malades. Il dormait. Une seule fois, il a ouvert les yeux, lorsque ma fille Morgane l’a embrassé. Il sortit du sommeil pendant quelques secondes. Cette séquence échappe à l’entendement comme une intrusion du surnaturel« .
Dévastées d’avoir perdu leur grand-père, les filles de Pascal Praud (Morgane, Tiphaine, Faustine, Lou-Elise) ont pleuré à chaudes larmes et ont gardé des objets de leur grand-père afin de le garder au plus proche. ‘ils. « Ces jours d’automne, mes filles sont allées à Nantes. Parfois deux personnes. Parfois seul. Je les ai accompagnés. Ils ont pleuré pendant tout le chemin du retour. Seuls les moins de 30 ans sont en larmes dans les églises lorsque le cercueil traverse la nef. La mort de leur grand-père marque leur premier deuil« .
Un dernier hommage à « Hocher »
Bouleversées, les filles de Pascal Praud sont «rentré à Paris avec un t-shirt, un polo« de leur grand-père qu’ils appelaient »Hocher la tête » parce que « le « r » de Roger est imprononçable lorsque vous commencez à parler. Mon père préférait Roger à grand-père, grand-père ou grand-père. Morgane et Tiphaine, les premières, ont inventé un prénom qui n’existait pas« . Un surnom qui est rapidement devenu le prénom de Roger pour tout son entourage et ses proches.