les évacuations des touristes français ont commencé
Les nouvelles les plus importantes de la journée

les évacuations des touristes français ont commencé

les évacuations des touristes français ont commencé

Les premières évacuations de touristes français ont débuté à l’aéroport de La Tontouta (Nouvelle-Calédonie), samedi 25 mai, au treizième jour de la crise. « Dans le cadre de la gestion de crise, les mesures de rapatriement des étrangers et des touristes français se poursuivent. Plus de 530 personnes ont été réaccompagnées à ce jour », précise le Haut-commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie dans un communiqué. Il rappelle que l’aéroport international de Nouméa-La Tontouta restera fermé aux vols commerciaux jusqu’à mardi, « date à laquelle la réouverture sera réévaluée ». Suivez notre diffusion en direct.

« Plus de 370 » arrestations depuis le début de la crise. Après près de deux semaines de violences, le Haut-Commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie fait état « plus de 370 » arrestations sur l’archipel. Dans son communiqué, il précise que « 115 policiers et gendarmes ont été blessés » et que le « Le bilan s’élève à sept morts, dont deux policiers ».

Un homme abattu, un policier en garde à vue. Le bilan des violences s’est alourdi vendredi à sept morts. Cette dernière victime est un homme de 48 ans dont l’identité n’a pas été communiquée. Un policier, « agressé physiquement par un groupe d’une quinzaine d’individus »a tiré un « tir pour s’échapper » et tué un homme à Dumbéa, près de Nouméa, selon le témoignage du procureur de la ville, Yves Dupas. Ce policier, qui présente « des traces de coups au visage » tout comme un collègue qui l’accompagnait, a été placé en garde à vue, a ajouté le magistrat.

Le FNLKS réitère sa demande de retrait de la réforme électorale. La visite du Président de la République n’a pas modifié la revendication du mouvement indépendantiste de Nouvelle-Calédonie. Le FLNKS réitère sa volonté de voir le retrait de la réforme électorale qui a provoqué les violences dans cet archipel français. « Le peuple a parlé. Le FLNKS s’oppose au dégel du corps électoral tel que défini dans le projet de loi constitutionnelle. Ce texte doit donc être retiré par le gouvernement français », » a écrit le mouvement dans un communiqué de presse.

Quitter la version mobile