Ces grèves visaient à éliminer un fonctionnaire du groupe djihadiste responsable de la planification des attaques et « d’autres terroristes qu’il a recrutés et dirigés en Somalie », a déclaré Donald Trump sur les réseaux sociaux.
Publié
Mis à jour
Temps de lecture: 2min

Les États-Unis ont dirigé le samedi 1er février, « Air frappe » Contre plusieurs combattants du groupe de l’État islamique (IS) en Somalie, a déclaré Donald Trump. Ces grèves visaient un responsable du groupe djihadiste responsable de la planification des attaques et « D’autres terroristes qu’il a recrutés et dirigés en Somalie »a déclaré le président américain sur son réseau social de vérité.
Ils « a détruit les grottes dans lesquelles ils ont vécu et tué de nombreux terroristes sans nuire aux civils » Dans ce pays de la corne de l’Afrique, a-t-il assuré. Donald Trump n’a pas donné le nom du manager référé, ni confirmé sa mort. « Selon notre première évaluation, plusieurs agents ont été tués »a expliqué le nouveau ministre de la Défense, Pete Hegseth, dans un communiqué, selon qui les grèves ont été effectuées dans la région de « Monts Golis »dans le nord du pays. « Cette action dégrade davantage la capacité d’Isa à préparer et à mener des attaques terroristes menaçant les citoyens américains »Il a ajouté.
« Le message est et tous ceux qui souhaitent attaquer les Américains est que » nous vous trouverons, et nous vous tuerons! « »a insisté Donald Trump sur Truth Social. Les grèves ont été dirigées par des drones, selon Mohamed Ali, un responsable militaire somalien dans la région de Bossaso, rejoint par l’AFP. « Nous ne connaissons pas encore le nombre de victimes, mais nous pensons que les missiles ont touché les cibles précisément »a-t-il expliqué. « Nous pensons qu’il y a des victimes parmi les dirigeants terroristes. »
Début janvier, les États-Unis ont été victimes d’une attaque qui a tué 14 personnes à la Nouvelle-Orléans. Le suspect, un ancien soldat américain qui s’est précipité dans la foule avec une voiture, est un ancien militaire américain qui semble avoir été inspiré par l’EI. Un drapeau du groupe djihadiste a été trouvé dans son véhicule et a proclamé son soutien à l’organisation dans plusieurs vidéos.
Le groupe d’État islamique a une présence relativement faible en Somalie par rapport au Shebab, affilié à Al-Qaïda, mais l’ONU a averti cette année contre le renforcement des affiliés de l’EI dans le pays. Ce groupe djihadiste international très opaque est historiquement ancré au Moyen-Orient, où il avait réussi à établir un califat en Syrie et en Irak entre 2014 et 2019. Cependant, l’organisation a un homme fort en Somalie, Abdulqadir Mumin, un Africain dans la barbe orange.