Au lendemain de l’attaque au couteau dans une école privée à Nantes, qui a fait un mort et trois blessées, les enquêteurs essaieront, le vendredi 25 avril, pour identifier les motivations du suspect, ont conduit à l’hôpital psychiatrique jeudi soir. Pourquoi cet élève de l’établissement de Notre-Dame de Tous-Aides a-t-il contesté peu de temps après les faits, a mortellement poignardé l’un de ses camarades, avant de s’attaquer à trois autres étudiants, dont l’un entre la vie et la mort jeudi soir? LLe procureur de Nantes, Antoine Leroy, donnera plus de détails sur son profil ainsi que sur les circonstances du drame à 18 heures lors d’une conférence de presse. Suivez notre direct.
Les motivations des adolescents au cœur de l’enquête. L’étudiant présente « Un profil dépressif », Signale une source proche de l’enquête à France Télévisions. Il est décrit par des camarades comme un étudiant « réserve »qui exprimait régulièrement un intérêt pour le nazisme. À l’insu de la police, il n’est pas considéré comme radicalisé, mais, jeudi au début de la soirée, le procureur national anti-terrorisme a déclaré à Franceinfo qu’il évaluait toujours la situation pour découvrir s’il avait enquêté sur l’enquête.
Un document envoyé par e-mail avant d’agir. Sur ce manifeste, que « ici Loire Ocean » a obtenu, il est écrit que « La révolte est déjà la plus grande victoire que nous pouvons atteindre ». L’auteur dénonce un « La mondialisation qui décompose les humains »,, « Un écocide généralisé » ou « Conditionnement social totalitaire ».
Les cours ont maintenu pour les élèves de l’école primaire. D’un autre côté, ils sont suspendus pour les étudiants et les élèves du secondaire du groupe scolaire de Notre-Dame de Tous-Aides. La cellule psychologique restera ouverte. Un appel à poser des fleurs devant l’établissement à 15h30 a été lancé et partagé sur les réseaux sociaux.
« Aucune garantie » que l’un des trois adolescents blessés est « complètement des affaires ». Les ministres de l’Intérieur et de l’éducation nationale, Bruno Retailleau et Elisabeth Borne, ont pris la parole de Nantes jeudi soir. Selon Elisabeth Borne, il y a « Aucune garantie » qu’un blessé trois adolescents soient « Totalement dessiné ». Pour Bruno Retailleau, ce n’est pas une nouvelle, mais un « Fait de la société »symbole de « Enauvage » de la société.