INFOS LE FIGARO – Ce mardi matin, une vingtaine de députés de droite ont rencontré le maire d’Antibes, co-rapporteur de la précédente loi sur la fin de vie. Beaucoup d’entre eux confient leur « perplexité » face au projet de loi après son élargissement en commission spéciale.
« Plus j’avance, moins j’en sais. » C’est en ces termes que Jean Leonetti, maire d’Antibes et co-rapporteur de la loi sur la fin de vie en vigueur depuis 2005, a introduit son propos ce mardi matin. Assis au questorage de l’Assemblée nationale autour d’un petit-déjeuner avec une vingtaine d’élus de droite de la majorité, l’ancien député UMP, qui alerte depuis plusieurs semaines sur les dérives que pourraient ouvrir le texte gouvernemental, a discuté avec « une grande humilité » Et « une humanité profonde » son approche du problème.
Il a été invité à l’initiative de la députée Renaissance Constance Le Grip qui avait invité les députés du petit groupe de la droite. «Solféri-Non» dans le but d’alimenter la réflexion des députés sur le thème, actuellement débattu dans l’hémicycle de l’Assemblée, de la fin de la vie. Une discussion de plus d’une heure à laquelle ont participé de nombreuses personnalités de la majorité (de la Renaissance et du MoDem), comme Astrid Panosyan-Bouvet…
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