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Les députés du groupe des Républicains (LR) à l’Assemblée nationale « A décidé à l’unanimité de s’opposer à la nomination de Richard Ferrand à la tête du Conseil constitutionnel »a annoncé Laurent Wauquie, président du groupe LR à l’Assemblée le mercredi 19 février. « C’est une personnalité qui pose un problème éthique, un problème d’impartialité, et qui pose un problème car il n’a pas d’expertise juridique »a continué le candidat à la tête de la bonne partie.
Richard Ferrand doit être entendu mercredi par des parlementaires dans les lois de l’Assemblée et des lois du Sénat. Le 13 février, Laurent Wauquie, le chef des députés LR a déclaré que le » profil « de l’ancien président de l’Assemblée nationale (2018-2022) « Pos(AIT) problème « . « C’est une personnalité qui vient du parti socialiste, qui était l’un des principaux soutiens politiques de Macronie »puis a revendiqué le député de Haute-Loire à propos de ce proche du président de la République, croyant que, pour cette raison, « Le risque est que les décisions du conseil soient considérées comme politiques. »
Emmanuel Macron avait proposé, le 10 février, le nom de Richard Ferrand, 62 ans, « Walker » du début de l’heure, pour prendre la présidence du Conseil constitutionnel et ainsi succéder à Laurent Fabius. Un choix qui avait rapidement suscité des troubles.
La décision des parlementaires LR, en particulier au Sénat, sera potentiellement décisive pour Richard Ferrand. Pour que sa candidature soit rejetée, trois cinquièmes des votes exprimés par les deux commissions devraient s’y opposer, au moins 74 voix sur 122 au total – une situation extrêmement rare au Parlement.
Un profil jugé insuffisamment solide
Cependant, l’hypothèse a pris de l’ampleur ces derniers jours selon les postes de députés et de sénateurs LR contre sa nomination, soit en raison de sa proximité avec Emmanuel Macron, soit en raison de son profil, jugée insuffisamment solide sur les questions juridiques et constitutionnelles.
L’actuel président de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, a appelé les parlementaires pour être basé sur des audiences pour décider: « Je ne peux plus supporter que nous fassions les matchs avant d’être joués. Il est important de voir ce qui se passe en entendant. » « «J’ai déjà vu des parlementaires changer d’avis, d’une manière ou d’une autre, selon l’audience. Je ne joue jamais le match avant le coup de pied -off « a martelé le support du perchoir devant la presse, à l’Assemblée nationale.
Si Richard Ferrand devait être en mesure de compter sur la plupart des votes des groupes de l’ancienne majorité soutenant Emmanuel Macron (EPR-Horizons-Modem), la gauche devrait au contraire voté contre sa nomination et cela dans les deux chambres.
Le rassemblement national, qui compte seize députés de la Commission du droit, n’a pas décidé publiquement. L’entourage de Marine Le Pen, qui a déploré le « Dérive » Qui consiste à nommer des politiques au Conseil constitutionnel, soutient que les élus de l’IRN décideront selon les réponses de Richard Ferrand à leurs questions mercredi.
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