Benoît Tessier / REUTERS
Un groupe de créanciers obligataires et bancaires du groupe IT a conclu un accord de principe pour financer le groupe IT, endetté à hauteur de 4,9 milliards d’euros.
C’est évidemment une bonne nouvelle pour Atos, même si l’entreprise n’est pas encore sortie de l’ornière. Vendredi soir, alors que la direction du groupe informatique français attendait le dépôt d’offres de rachat du groupe par des investisseurs tiers, certains créanciers bancaires et obligataires de l’entreprise sont parvenus à un accord oral visant à financer un plan de sauvetage et ainsi desserrer le cordon. de 4,9 milliards d’euros de dette qui l’étouffe. « Les détails n’ont pas été signés, mais il n’y a plus aucune possibilité de jouer la division entre l’un et l’autre. Ce n’est qu’un début, les conseils vont en discuter donc il y a encore beaucoup de travail à faire »estime un créancier. Mais si tout le monde est raisonnable, le pire pourrait être passé pour Atos..
Même s’il ne s’agit pas d’un cas inédit, il est rare que ces deux types de créanciers s’entendent sur ce type de sujet sensible. « Les banquiers tentent d’écraser tout le monde dans ce type d’affaire »note la source citée…
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