Divertissement

Les cinémas enregistrent leur «meilleur mois de juin depuis 2013», selon le CNC

La fréquentation totale des six premiers mois de l’année, soit environ 84 millions d’entrées, est toutefois en légère baisse par rapport à 2023 avec environ 91 millions d’entrées.

France Télévisions – Éditorial Culture

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Le cinéma Gaumont avec un grand écran à Paris, France, le 12 juin 1992. (ALAIN BENAINOUS / GAMMA-RAPHO / GETTY IMAGES)

Porté par le succès deUn petit quelque chose en plus et de Vice-Versa 2, Les salles de cinéma françaises ont connu leur «meilleur mois de juin depuis 2013« , s’est félicité le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), mardi 2 juillet, dans un communiqué.

Cette reprise était aussi « prise en charge« par le démarrage en trombe de l’édition 2024 de la Fête du cinéma (30 juin-3 juillet) qui a atteint »un record historique« son premier jour dimanche »avec près de 1,4 million » des inscriptions, précise le CNC dans son communiqué.

Avec 13,18 millions d’entrées, la fréquentation a augmenté de « 28,9% par rapport à juin 2023« .
C’est un film français qui occupe la première place du classement du mois : Un petit quelque chose en plusla comédie qui prend le parti du rire avec les personnes handicapées, signée par l’humoriste et comédien Artus, qui a franchi les 8 millions d’entrées.

Le film d’animation très attendu Vice-Versa 2 des studios Pixar et Disney, consacré aux affres de l’adolescence, a atteint la deuxième place, suivi de la comédie policière américaine Bad Boys : La chevauchée ou la mort. Une autre œuvre française grimpe à la 4ème place du classement malgré seulement quelques jours d’exploitation : il s’agit de Comte de Monte-Cristo avec Pierre Niney, libéré Vendredi 28 juinqui compte déjà plus d’un million d’entrées.

Toutefois, la fréquentation totale des six premiers mois de l’année (84,64 millions d’entrées) est en légère baisse par rapport à 2023 (91,19 millions d’entrées), soit -7,2%.
Avant un « La reprise de la fréquentation a clairement commencé en mai« , les quatre premiers mois de 2024 ont vu une « poche d’air« , « principalement imputable à un facteur extérieur au marché français« , savoir « l’absence relative de films à grand succès américains« , note le CNC.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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