Quelle saveur donner à une médaille de bronze en compétition internationale? Tant de choses qu’elle a utilisé la récolte de l’or au cours des vingt dernières années, l’équipe masculine de handball française laissera nécessairement un goût inachevé pour les adeptes et les aficionados, après que sa troisième place a gagné ce dimanche 2 février contre le Portugal aux Championnats du monde, dans l’unité Arena d’Oslo. Une victoire s’est arrachée dans les dernières secondes après un jugement final du gardien de but bleu, Charles Bolzinger, sur le score de 35-34.
Les joueurs, ils accueilleront sans aucun doute « Récompensé » Après près de trois semaines de compétition et une demi-finale mixte en grandes largeurs contre la Croatie. L’entraîneur, Guillaume Gille, respirera après avoir atteint son record. Et la Fédération se dispensera probablement de migraines trop importantes pour comprendre si l’évaluation est satisfaisante, qui a étendu le contrat pour son entraîneur il y a six mois – il y a six mois – « Un fils de la famille » Dixit Président Bana – Jusqu’à… 2029.
Mais les questions resteront nombreuses. Cette équipe et cette génération, qui compte au moins trois joueurs du monde Gotha dans ses rangs (Dika Mem, Ludovic Fabregas et Nedim Remili), ainsi qu’un talent Palanque Ready to Shine (Aymeric Minne, Dylan Nahi, Elohim Prandi), Ne peut-il pas viser ci-dessus? Il y a six mois, aux Jeux olympiques de Paris, elle est devenue Hara-Kiri contre l’Allemagne en quart de finale. Au cours de cette Coupe du monde, elle a traversé la première phase de la compétition, avant d’être très effrayante dans le quart de finale face à la première opposition sérieuse (Égypte), avant d’avoir une moitié contre la Croatie.
Manque de caractère? Contrôle tactique insuffisant? Le groupe comme le personnel a joué l’air de « circuler, il n’y a rien à faire », et on ne peut s’empêcher de penser que de toute façon, l’affaire aurait été rapidement pliée en finale contre une sélection danoise dans l’air de la dynastie. Celui-ci, dirigé par le meilleur joueur du moment, Mathias Gidsel, peut gagner ce dimanche soir un quatrième titre mondial consécutif, et propose un jeu léché, qui aurait probablement étouffé le blues.
Le personnel du Tricolor peut trouver du matériel de réflexion dans ce match de bronze. Surtout dans le cas d’Aymeric Minne, un demi-central annoncé comme La prochaine grande chose Handball français pendant plus de cinq ans, mais dont le temps de jeu dans la sélection reste réduit à la partie congrueuse. Jusqu’à ce dimanche à 15 heures le dimanche, où il a été aligné dès qu’il démarre et ne plante pas moins de quatre buts au cours des cinq premières minutes de jeu. Restez à la mi-temps à l’approbation, avec des coups de feu et des passes décisives à Gogo… Au retour des vestiaires, il ne reste que quelques minutes sur le banc, rappelé pour prendre la place d’un Nedim est resté en grande difficulté. Et c’est un autre joueur sans trop d’expérience internationale, Charles Bolzinger, qui fera les arrêts décisifs pour permettre aux Blues d’extraire des griffes portugaises et de leur Minot Kiko Costa, intenable.