Un mois après l’inauguration de Donald Trump, les ministres des finances du G20, à l’exception de celui des États-Unis, se sont réunis depuis mercredi à CAP où le président sud-africain a mis en garde contre un » menace « peser sur le « Croissance mondiale ».
« L’érosion du multilatéralisme constitue une menace pour la croissance et la stabilité mondiales »Mercredi, Cyril Ramaphosa a averti lors de l’ouverture de cette réunion des ministres des finances et des gouverneurs des banques centrales du G20.
Cette réunion, comme celle des ministres des Affaires étrangères la semaine dernière, est tenue en l’absence du principal représentant des États-Unis dans le contexte des craintes croissantes des guerres commerciales.
Le chef de l’État américain Donald Trump a annoncé mercredi que les produits européens « peu » taxé à 25%. En ce qui concerne le Canada et le Mexique, les tâches de douane de 25%, annoncés puis suspendus jusqu’au 4 mars, devraient enfin être en vigueur à partir du 2 avril.
Le ministre italien de l’Économie Giancarlo Giorgetti, dont le chef de gouvernement est jugé proche du nouveau locataire de la Maison Blanche, a exprimé les mêmes préoccupations que son hôte dans CAP.
« Le protectionnisme, les barrières commerciales et l’incertitude politique menacent la croissance »Il a déclaré en session, selon un communiqué de son ministère dans lequel il cite les risques de l’augmentation des coûts de production et de l’inflation.
« Il est essentiel de s’assurer que les droits et les intérêts des personnes vulnérables ne sont pas piétinés par les ambitions des puissants »avait lancé le président de l’Afrique du Sud plus tôt, tous les sida ont été coupés par la Maison Blanche qui l’accuse de traitement « Injuste » Afrikaners, descendants de colons européens.
Pretoria craindre pour l’avenir d’Ogoa, un accord commercial entre le continent et Washington, ainsi que pour le financement américain du partenariat pour une transition énergétique équitable (JEP), a reconnu mardi le ministre sud-africain de l’Énergie.
« Un ordre international basé sur des règles équitables, transparentes et inclusives est finalement une condition essentielle pour la stabilité économique et la croissance soutenue en ces temps d’augmentation du défi géopolitique »Toujours exhorté Cyril Ramaphosa aux premiers jours des réunions au Cap.
Contrairement à Marco Rubio qui avait boycotté la réunion des chefs de la diplomatie en taxant Pretoria D ‘« Anti-américain »Le secrétaire américain du Trésor Scott Bessent a invoqué « Bond à Washington ».
D’un autre côté, le président de la Banque centrale américaine (Fed) Jerome Powell est très présent. Comme son homologue de la BCE (Banque centrale européenne) Christine Lagarde.
Plusieurs ministres européens des finances, tels que les Rachel Reeves britanniques, le Français Eric Lombard ou Giancarlo Giorgetti ont assisté au discours du chef de l’État de l’Afrique du Sud, le premier pays du continent à présider le G20 et donc le premier à accueillir son sommet en novembre à Johannesburg.
Au milieu du désengagement américain en Europe, Rachel Reeves prévoit de soutenir devant ses homologues du G20 selon laquelle une forte défense est la « Base de croissance économique » et plaidera pour un « Commerce libre et équitable »a annoncé ses services.
Le bouleversement des règles du jeu de Donald Trump éclipse en partie les thèmes promus par l’Afrique du Sud pour ce G20, à savoir la croissance inclusive et durable ainsi que l’innovation financière pour soulager les pays submergés par la dette et les conséquences du changement climatique.
« Parlez à n’importe quel leader africain »Lancé mercredi Cyril Ramaphosa. «Ils vous diront que les ponts, les écoles et les hôpitaux sont emportés par des inondations qu’ils n’ont jamais vues auparavant et qu’ils savent maintenant en raison du changement climatique. Ils ne sont pas en mesure de reconstruire ces routes et ces ponts sans imposer un lourd fardeau de la dette à leurs économies. »»
Le montant total de la dette externe des pays en développement a atteint un record de 1,400 milliard de dollars en 2023, selon le programme des Nations Unies (PNUD).
Dix-sept pays consacrent plus de 20% de leurs revenus publics aux paiements d’intérêts, le PNUD a averti dans une déclaration mardi, un seuil qui est conformément au programme des Nations Unies « Fortement lié au risque de défaut ».
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