Il est bien connu que les médias ne parlent jamais des trains arrivant à l’heure. A tel point que suivre l’actualité peut être totalement déprimant. Sans nier les grandes menaces et difficultés qui traversent notre époque, il y a aussi de très bonnes nouvelles qui nous parviennent parfois et qui ne sont pas suffisamment relayées. Les ignorer, c’est se condamner au désespoir. Voici trois faits divers récents qui nous redonnent le sourire.
Lancement de cet aspirateur géant au CO2
En Islande, le plus grand aspirateur à CO2 du monde vient d’être mis en service. Il est exploité par la société CarbFix en partenariat avec la société suisse Climeworks. Réseau de bonnes nouvellesce système fonctionne à l’énergie géothermique, ce qui le rend neutre en carbone :
En aspirant 36 000 tonnes de carbone de l’air chaque année à l’aide des ventilateurs d’admission modulaires et empilables de Climeworks, la technologie CarbFix dépose le carbone profondément sous terre, où il se minéralise et n’émerge pas avant des centaines de millions, voire des milliards d’années.
Les émissions de substances nocives pour la couche d’ozone sont en baisse
Selon Notre monde en donnéesLes émissions mondiales de substances appauvrissant la couche d’ozone ont diminué de 99 % depuis 1989. Cet exploit a été rendu possible grâce à un accord international visant à réduire les émissions de ces substances.
Bien que le trou dans la couche d’ozone ne soit pas encore complètement résorbé, il devrait l’être d’ici 2066 au-dessus de l’Antarctique, vers 2045 au-dessus de l’Arctique et en 2040 dans le reste du monde.
Ce plastique s’autodétruit
Des chercheurs affirment avoir développé un « plastique auto-digéré » qui pourrait réduire considérablement la pollution. En substance, ils ont incorporé des spores de bactéries mangeuses de plastique dans le matériau. Les spores restent dormantes tout au long de la vie du plastique, mais reviennent à la vie lorsqu’elles sont exposées aux nutriments du compost, rapporte le rapport. la BBC.
Ce procédé est encore en phase de test en laboratoire, mais il pourrait être lancé d’ici quelques années. D’autres scientifiques affirment qu’il existe une solution beaucoup plus simple à cette pollution. Cité par nos confrères, Steve Fletcher, directeur du Revolution Plastics Institute de l’Université de Portsmouth, « Je préférerais une réduction mondiale et juridiquement contraignante de la production de plastique ».
Voilà, c’est tout pour cette semaine. Si vous avez aimé cet article, vous pouvez toujours relire la partie précédente de cette rubrique pour retrouver d’autres bonnes nouvelles passées relativement inaperçues.
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