L’édition 2025 du Tour du Rwanda était une répétition générale des mondes du cyclisme de la route prévu fin septembre à Kigali, le premier de l’histoire du continent africain. Mais le conflit qui fait rage dans la République démocratique du Congo (RDC) à proximité est susceptible de gâcher le parti.
L’équipe sudale rapide a décidé de se retirer de l’événement (23 février au 2 mars), par peur pour la sécurité de ses coureurs et de son personnel. La formation belge estime que le cours de la course est trop proche de la frontière avec la RDC.
« L’arrivée et le départ dans le domaine des risques, où notre hôtel nous inquiétait également »a expliqué le patron de l’équipe, Jürgen Forée, le 7 février aux médias Sporzaévoquant l’épilogue du 3e Étape et lancez le 4e – sur sept – à Rubavu. Cette localité située à seulement 15 kilomètres de Goma, le principal Congolais East City est tombé, fin janvier, entre les mains du groupe armé armé M23 (pour « 23 mars »).
« En fin de compte, nous avons décidé de ne pas envoyer 20 personnes dans un endroit où leur sécurité ne peut être garantie à 100% »a ajouté Jürgen Forete, ajoutant qu’il avait demandé, en vain, une modification de la disposition de la course.
Dans un communiqué daté du 5 février, les organisateurs du Rwanda Tour ont déclaré qu’il aurait lieu « Sans changement de programme » Et qu’il passera bien par Rubavu où « La vie continue normalement ». « Les coureurs, les équipes et les supporters peuvent être certains que leur sécurité sera assurée »Ils ont insisté.
Pour le moment, seule l’équipe sudale de pas rapide a décidé d’abandonner les cours de formation Israël Premier Tech et Totalnergies qui ont confirmé leur participation à l’agence France-Presse (AFP). Le fait demeure que le climat politique de la région commence à s’inquiéter dans le monde du cyclisme, avec la fin de l’automne. Fin janvier, l’Union internationale du cyclisme (UCI) a assuré qu’aucun mouvement des mondes à un autre pays n’était « Planifié à ce jour »réagissant à « Rumeurs » Sur l’existence d’un plan possible B pour la concurrence.
Cette position est toujours d’actualité, a confirmé le corps cette semaine à l’AFP, déclarant que son président, le David Lappartient français, doit y aller « À la fin du mois à l’occasion de la tournée du Rwanda et pour divers événements ».
Même cloche pour les autorités rwandaises, qui ont fait du sport un vecteur pour promouvoir le pays, trente ans après le génocide qui a fait 800 000 morts selon les Nations Unies. « Le Rwanda est une destination sûre pour les cyclistes et les visiteurs », explique À AFP le porte-parole du gouvernement, Yolande Makolo. Les préparatifs des championnats du monde se poursuivent. »»
LemondeSports
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